Par Jean Pisani-Ferry
Éditions Pluriel, 2013
250 p., 8,8 €, Librairie Antoine
On croyait les démons assagis : à la faveur de la crise financière de 2008, les États avaient repris le dessus sur les marchés financiers et les politiques économiques savaient répondre et conjurer la dépression. Mais la tempête qui a ébranlé la zone euro entre 2009 et 2012, au départ crise banale dans une petite économie périphérique, la Grèce a gagné un pays après l’autre et a menacé d’emporter tout l’édifice monétaire européen. Dans cette nouvelle édition augmentée, l’auteur retrace les étapes de la crise et analyse les solutions adoptées. Si l’Europe a fait preuve d’un remarquable sens de la survie, elle souffre aujourd’hui d’une dangereuse absence de communauté de projets.
Éditions Pluriel, 2013
250 p., 8,8 €, Librairie Antoine
On croyait les démons assagis : à la faveur de la crise financière de 2008, les États avaient repris le dessus sur les marchés financiers et les politiques économiques savaient répondre et conjurer la dépression. Mais la tempête qui a ébranlé la zone euro entre 2009 et 2012, au départ crise banale dans une petite économie périphérique, la Grèce a gagné un pays après l’autre et a menacé d’emporter tout l’édifice monétaire européen. Dans cette nouvelle édition augmentée, l’auteur retrace les étapes de la crise et analyse les solutions adoptées. Si l’Europe a fait preuve d’un remarquable sens de la survie, elle souffre aujourd’hui d’une dangereuse absence de communauté de projets.