Par Daniel Pinto
Éditions Odile Jacob, 2013
287 p., 25,2 €, Librairie Antoine
Ce livre part d’un constat simple : né en Occident, le capitalisme entrepreneurial a changé de camp. Aujourd’hui, les créateurs d’entreprises et les capitaines d’industrie visionnaires ne se trouvent plus aux États-Unis ni en Europe, mais en Inde, en Chine ou au Brésil. Les patrons occidentaux se sont transformés en producteurs de résultats trimestriels, asservis à un actionnariat financier. En perdant le lien émotionnel entre l’actionnaire et l’entreprise, ce capitalisme se suicide à grande vitesse. L’Occident est-il donc condamné à perdre la partie face aux puissances émergentes ? Pourquoi ne serait-il pas capable de retrouver le mode d’emploi de la croissance ?
Éditions Odile Jacob, 2013
287 p., 25,2 €, Librairie Antoine
Ce livre part d’un constat simple : né en Occident, le capitalisme entrepreneurial a changé de camp. Aujourd’hui, les créateurs d’entreprises et les capitaines d’industrie visionnaires ne se trouvent plus aux États-Unis ni en Europe, mais en Inde, en Chine ou au Brésil. Les patrons occidentaux se sont transformés en producteurs de résultats trimestriels, asservis à un actionnariat financier. En perdant le lien émotionnel entre l’actionnaire et l’entreprise, ce capitalisme se suicide à grande vitesse. L’Occident est-il donc condamné à perdre la partie face aux puissances émergentes ? Pourquoi ne serait-il pas capable de retrouver le mode d’emploi de la croissance ?