C’est juste avant les fêtes de fin d’année que le second CinemaCity s’est ouvert au centre-ville de Beyrouth. Un premier multiplexe du même nom existe à Nahr el-Mot, au sein du centre commercial Citymall (groupe Admic).
Installé aux Souks de Beyrouth, le nouveau multiplexe de 12 000 m2, répartis sur 3 étages, a coûté quelque 25 millions de dollars. L’investissement a été mené par BCD Cinemas, une entreprise fondée conjointement par Solidere (40 %), Empire Theaters et World Media Holding (60 % ensemble), une structure dirigée par Hamad Attassi, déjà associé à Empire Theaters dans le premier CinemaCity de Nahr el-Mot.
« Le Cinemacity du centre-ville est le plus grand multiplexe du Liban et rivalise avec ceux du Golfe », assure Mario Haddad, président d’Empire Theaters.
Au Liban, on compte quelque 133 salles de cinéma. Mais seulement une quinzaine de complexes (deux salles et plus) et 5 multiplexes (au-delà de 10 salles). Ils sont gérés par trois opérateurs distincts, en ce qui concerne les multiplexes : Empire Theaters, Grand Cinemas, et Vox.
Le nouveau multiplexe du centre-ville compte 14 salles de cinéma (2200 fauteuils), dont deux salles « spécial VIP », au tarif de 30 dollars la place, contre 8 dollars pour un billet standard.
Quelque 5000 m2 sont réservés au septième art proprement dit ; les 7000 m2 restants étant dédiés à différents espaces de restauration et de snacking.
« Nous avons l’ambition d’être numéro un d’ici à 3 mois au Liban », assure encore Mario Haddad, président de Empire Theaters.
Pour y parvenir, ce nouveau complexe cinématographique devra dépasser l’audience du leader : le Cinemacity du Citymall de Nahr el-Mott. Lancé en 2006, détenu lui aussi par Empire Theaters et World Media Holding, ce multiplexe est le leader du marché avec plus de 800 000 places vendues l’an passé.
« L’association du cinéma et des centres commerciaux est logique : un multiplexe, c’est en moyenne 2 à 3000 visiteurs par jour au Liban. A charge pour les boutiques environnantes de savoir aussi attirer cette clientèle », ajoute Mario Haddad.
Ouvert 7 jours sur 7, le Cinemacity des Souks de Beyrouth devrait employer à terme une centaine de salariés.
Installé aux Souks de Beyrouth, le nouveau multiplexe de 12 000 m2, répartis sur 3 étages, a coûté quelque 25 millions de dollars. L’investissement a été mené par BCD Cinemas, une entreprise fondée conjointement par Solidere (40 %), Empire Theaters et World Media Holding (60 % ensemble), une structure dirigée par Hamad Attassi, déjà associé à Empire Theaters dans le premier CinemaCity de Nahr el-Mot.
« Le Cinemacity du centre-ville est le plus grand multiplexe du Liban et rivalise avec ceux du Golfe », assure Mario Haddad, président d’Empire Theaters.
Au Liban, on compte quelque 133 salles de cinéma. Mais seulement une quinzaine de complexes (deux salles et plus) et 5 multiplexes (au-delà de 10 salles). Ils sont gérés par trois opérateurs distincts, en ce qui concerne les multiplexes : Empire Theaters, Grand Cinemas, et Vox.
Le nouveau multiplexe du centre-ville compte 14 salles de cinéma (2200 fauteuils), dont deux salles « spécial VIP », au tarif de 30 dollars la place, contre 8 dollars pour un billet standard.
Quelque 5000 m2 sont réservés au septième art proprement dit ; les 7000 m2 restants étant dédiés à différents espaces de restauration et de snacking.
« Nous avons l’ambition d’être numéro un d’ici à 3 mois au Liban », assure encore Mario Haddad, président de Empire Theaters.
Pour y parvenir, ce nouveau complexe cinématographique devra dépasser l’audience du leader : le Cinemacity du Citymall de Nahr el-Mott. Lancé en 2006, détenu lui aussi par Empire Theaters et World Media Holding, ce multiplexe est le leader du marché avec plus de 800 000 places vendues l’an passé.
« L’association du cinéma et des centres commerciaux est logique : un multiplexe, c’est en moyenne 2 à 3000 visiteurs par jour au Liban. A charge pour les boutiques environnantes de savoir aussi attirer cette clientèle », ajoute Mario Haddad.
Ouvert 7 jours sur 7, le Cinemacity des Souks de Beyrouth devrait employer à terme une centaine de salariés.