Par Caroline Sauvajol-Rialland
Éditions Vuibert, 2013
208 p., 24,2 €, Librairie Antoine
Chaque individu reçoit chaque jour une déferlante d’informations en provenance d’une quantité invraisemblable de réseaux de communication. La plupart d’entre eux développent aujourd’hui une “infobésité” ou, en d’autres termes, une situation de surcharge informationnelle. Un cadre reçoit de nos jours un volume d’informations 10 fois supérieur à ce qu’il recevait il y a 15 ans, et il produit environ 10 % de données de plus chaque année. L’information serait-elle désormais davantage source de risques et de contraintes que de création de valeur pour les personnes comme pour les organisations ? Sommes-nous les victimes consentantes des nouvelles technologies ?
Éditions Vuibert, 2013
208 p., 24,2 €, Librairie Antoine
Chaque individu reçoit chaque jour une déferlante d’informations en provenance d’une quantité invraisemblable de réseaux de communication. La plupart d’entre eux développent aujourd’hui une “infobésité” ou, en d’autres termes, une situation de surcharge informationnelle. Un cadre reçoit de nos jours un volume d’informations 10 fois supérieur à ce qu’il recevait il y a 15 ans, et il produit environ 10 % de données de plus chaque année. L’information serait-elle désormais davantage source de risques et de contraintes que de création de valeur pour les personnes comme pour les organisations ? Sommes-nous les victimes consentantes des nouvelles technologies ?