Baptisé SFO, le multi-family office fondé en septembre 2012 est piloté en direct par Mario Saradar. C’est la première institution du genre au Liban. « L’objectif est de gérer la fortune d’une dizaine de familles dont les avoirs sont supérieurs à 100 millions de dollars. Nous avons déjà cinq clients avec une fortune moyenne de 300 millions de dollars : une famille marocaine, une saoudienne, une européenne et deux libanaises », explique le président du groupe Saradar.
« Beaucoup de familles fortunées créent leur propre family office. Mais quand elles ne sont pas du métier, elles s’adressent à des “multi-family office” sachant que ce dernier est rentable à partir d’un seuil de 500 millions de dollars. La localisation de ce bureau importe peu et le Liban n’est pas moins bien positionné que d’autres en la matière, car notre compétence consiste à proposer à nos clients ce qu’il y a de mieux dans le monde pour chaque classe d’actifs. »
Un banquier est affecté au service de chaque famille et le système de rémunération est totalement aligné sur les intérêts de celle-ci, à travers un pourcentage des actifs consolidés et un plafond, explique Émile Albina, directeur des relations clients de SFO.
Le multi-family office offre une gamme de services à ses clients, de la consolidation de ses actifs à des conseils en investissement, en passant par la gestion de ses relations bancaires, la planification successorale, l'optimisation fiscale, ou encore des services de conciergerie, à travers sa filiale Signature.
« Le premier service consiste à fournir à chaque famille un rapport consolidant l’ensemble de ses avoirs bancaires et non bancaires (immobilier, parts dans des sociétés, etc.) pour faciliter leur analyse en terme d’exposition aux différentes classes d’actifs, aux différentes devises », dit Émile Albina.
Le rôle de SFO est ensuite de gérer au mieux les relations entre chaque famille et leurs banques ou d’autres contreparties, afin d’optimiser les coûts de leurs services d’une part et de les rationaliser de l’autre.
La position privilégiée qui consiste à avoir une vision globale du portefeuille d’une famille conduit logiquement SFO à la conseiller en matière d’allocation d’actifs. « Nous n’intervenons pas sur les actifs stratégiques du point de vue de l’activité économique de la famille, mais sur son portefeuille liquide après avoir pris le temps de bien comprendre son profil. »
Ce service de conseil en gestion de patrimoine qui suppose aussi de sélectionner les meilleurs gestionnaires de fonds à travers le monde et de contrôler leurs performances est fourni par un comité de conseil en investissement composé de « très grosses pointures, avec une expérience de 20 ans dans des banques internationales ».
Enfin, SFO propose à ses familles clientes d’adhérer à un club d’investissement leur offrant l’exclusivité et des conditions tarifaires favorables pour l’accès à certaines transactions structurées par le groupe Saradar ou auxquelles son réseau lui donne accès.
« Beaucoup de familles fortunées créent leur propre family office. Mais quand elles ne sont pas du métier, elles s’adressent à des “multi-family office” sachant que ce dernier est rentable à partir d’un seuil de 500 millions de dollars. La localisation de ce bureau importe peu et le Liban n’est pas moins bien positionné que d’autres en la matière, car notre compétence consiste à proposer à nos clients ce qu’il y a de mieux dans le monde pour chaque classe d’actifs. »
Un banquier est affecté au service de chaque famille et le système de rémunération est totalement aligné sur les intérêts de celle-ci, à travers un pourcentage des actifs consolidés et un plafond, explique Émile Albina, directeur des relations clients de SFO.
Le multi-family office offre une gamme de services à ses clients, de la consolidation de ses actifs à des conseils en investissement, en passant par la gestion de ses relations bancaires, la planification successorale, l'optimisation fiscale, ou encore des services de conciergerie, à travers sa filiale Signature.
« Le premier service consiste à fournir à chaque famille un rapport consolidant l’ensemble de ses avoirs bancaires et non bancaires (immobilier, parts dans des sociétés, etc.) pour faciliter leur analyse en terme d’exposition aux différentes classes d’actifs, aux différentes devises », dit Émile Albina.
Le rôle de SFO est ensuite de gérer au mieux les relations entre chaque famille et leurs banques ou d’autres contreparties, afin d’optimiser les coûts de leurs services d’une part et de les rationaliser de l’autre.
La position privilégiée qui consiste à avoir une vision globale du portefeuille d’une famille conduit logiquement SFO à la conseiller en matière d’allocation d’actifs. « Nous n’intervenons pas sur les actifs stratégiques du point de vue de l’activité économique de la famille, mais sur son portefeuille liquide après avoir pris le temps de bien comprendre son profil. »
Ce service de conseil en gestion de patrimoine qui suppose aussi de sélectionner les meilleurs gestionnaires de fonds à travers le monde et de contrôler leurs performances est fourni par un comité de conseil en investissement composé de « très grosses pointures, avec une expérience de 20 ans dans des banques internationales ».
Enfin, SFO propose à ses familles clientes d’adhérer à un club d’investissement leur offrant l’exclusivité et des conditions tarifaires favorables pour l’accès à certaines transactions structurées par le groupe Saradar ou auxquelles son réseau lui donne accès.