Bilan et perspectives. En dépit de l’instabilité politico-sécuritaire, l’année 2013 avait déjà été très profitable pour la Creditbank, avec des bénéfices nets totalisant 18 millions de dollars, soit un volume globalement identique à celui de l’année précédente (16 millions de dollars). À la fin du premier semestre 2014, les bénéfices non audités de la banque ont atteint 11 millions de dollars, soit une croissance de 37 % par rapport à juin 2013. Cependant, l’inquiétude demeure quant à la performance à venir du secteur dans son ensemble.
L’incertitude qui pèse sur la situation locale et régionale pourrait en effet affecter négativement la confiance des investisseurs étrangers. Et un ralentissement de l’entrée des capitaux au Liban se répercutera certainement sur la croissance en général et celle des dépôts bancaires en particulier. De même, le creusement continu du déficit public pourrait constituer un risque réel sur le long terme, puisque les banques sont sa principale source de financement.
Présence internationale. La Creditbank opère actuellement en Arménie et en Russie à travers des banques locales que nous détenons à 100 %, et qui, cumulées, représentent presque 8 % du bilan consolidé du groupe. En dehors de ces implantations déjà existantes, nous n’avons aucun plan de développement à l’étranger à l’heure actuelle : l’ouverture à d’autres marchés s’avère une tâche difficile à réaliser et, ensuite, à rentabiliser. Cependant, sans être encore satisfaits du rendement de nos filiales à l’étranger, nous regardons ces projets sous un angle stratégique afin d’optimiser ces investissements à long terme malgré les difficultés.
Principaux axes stratégiques. Notre stratégie est avant tout basée sur la continuité d’une politique assez agressive de croissance axée sur deux chapitres. D’abord, l’élargissement du réseau d’agences avec l’ouverture de plusieurs nouvelles branches d’ici à fin 2015. Ensuite, notre cheval de bataille reste le financement du secteur privé à travers une politique de placement très dynamique qui vise les petites et moyennes entreprises et entend favoriser les prêts aux particuliers par le développement de différents produits.
L’incertitude qui pèse sur la situation locale et régionale pourrait en effet affecter négativement la confiance des investisseurs étrangers. Et un ralentissement de l’entrée des capitaux au Liban se répercutera certainement sur la croissance en général et celle des dépôts bancaires en particulier. De même, le creusement continu du déficit public pourrait constituer un risque réel sur le long terme, puisque les banques sont sa principale source de financement.
Présence internationale. La Creditbank opère actuellement en Arménie et en Russie à travers des banques locales que nous détenons à 100 %, et qui, cumulées, représentent presque 8 % du bilan consolidé du groupe. En dehors de ces implantations déjà existantes, nous n’avons aucun plan de développement à l’étranger à l’heure actuelle : l’ouverture à d’autres marchés s’avère une tâche difficile à réaliser et, ensuite, à rentabiliser. Cependant, sans être encore satisfaits du rendement de nos filiales à l’étranger, nous regardons ces projets sous un angle stratégique afin d’optimiser ces investissements à long terme malgré les difficultés.
Principaux axes stratégiques. Notre stratégie est avant tout basée sur la continuité d’une politique assez agressive de croissance axée sur deux chapitres. D’abord, l’élargissement du réseau d’agences avec l’ouverture de plusieurs nouvelles branches d’ici à fin 2015. Ensuite, notre cheval de bataille reste le financement du secteur privé à travers une politique de placement très dynamique qui vise les petites et moyennes entreprises et entend favoriser les prêts aux particuliers par le développement de différents produits.