Bilan de l’activité. En dépit de la volatilité de la situation économique et régionale, la BLF a réalisé son meilleur résultat historique en 2013, avec 101 millions de dollars de bénéfices, en hausse annuelle de 15 %. Cette croissance s’explique principalement par le développement mesuré de l’activité de crédit en particulier aux grandes entreprises et à la clientèle privée et de détail. Une performance d’autant plus remarquable qu’il a fallu remplacer d’importants prêts venus à échéance. Elle provient aussi du développement de nos activités génératrices de commissions, en particulier les activités de marchés, de change et obligataires. Par ailleurs, la banque a maintenu une bonne maîtrise du coût des ressources et des coûts d’exploitation tout en conservant un niveau important de liquidités. Cette politique de prudence et de développement maîtrisé a continué à s’avérer payante au premier semestre 2014 avec une progression d’environ 8 % du résultat net.
Investissements dans l’économie numérique. La circulaire 331 de la BDL va aider au développement d’une industrie à forte valeur ajoutée capable de retenir les talents libanais, voire, si le contexte le permet, d’en rapatrier certains, en leur permettant de rayonner sur la région. Ce dispositif est particulièrement intéressant car – hormis les crédits Kafalat – les banques sont des intermédiaires n’ayant pas vocation à engager les fonds de leurs déposants dans des start-up censées avoir recours au capital-risque. Dans ce cadre, la BLF a une stratégie en deux temps consistant d’abord à investir dans des fonds d’investissement qui détiennent ce savoir-faire ; puis, lorsque certaines de ces sociétés auront atteint un stade plus avancé, à coinvestir avec les fonds.
Présence internationale. La BLF possède des filiales ou des agences en France, à Chypre, en Suisse, en Syrie, en Irak et a ouvert des bureaux de représentation à Abou Dhabi et Lagos. Globalement, notre stratégie internationale consiste avant tout à suivre notre clientèle dans les pays où elle se touve. Une grande partie de notre portefeuille de crédit est ainsi liée à des activités à l’étranger. La situation régionale nous invite toutefois à la plus grande prudence et notamment à observer de près la situation en Irak où nous envisagions d’accroître notre présence.
Investissements dans l’économie numérique. La circulaire 331 de la BDL va aider au développement d’une industrie à forte valeur ajoutée capable de retenir les talents libanais, voire, si le contexte le permet, d’en rapatrier certains, en leur permettant de rayonner sur la région. Ce dispositif est particulièrement intéressant car – hormis les crédits Kafalat – les banques sont des intermédiaires n’ayant pas vocation à engager les fonds de leurs déposants dans des start-up censées avoir recours au capital-risque. Dans ce cadre, la BLF a une stratégie en deux temps consistant d’abord à investir dans des fonds d’investissement qui détiennent ce savoir-faire ; puis, lorsque certaines de ces sociétés auront atteint un stade plus avancé, à coinvestir avec les fonds.
Présence internationale. La BLF possède des filiales ou des agences en France, à Chypre, en Suisse, en Syrie, en Irak et a ouvert des bureaux de représentation à Abou Dhabi et Lagos. Globalement, notre stratégie internationale consiste avant tout à suivre notre clientèle dans les pays où elle se touve. Une grande partie de notre portefeuille de crédit est ainsi liée à des activités à l’étranger. La situation régionale nous invite toutefois à la plus grande prudence et notamment à observer de près la situation en Irak où nous envisagions d’accroître notre présence.