Une nouvelle circulaire de la Banque du Liban (BDL) impose désormais son approbation préalable pour toutes les opérations directes ou indirectes et les prises de participation financières des banques libanaises à l’étranger notamment dans des banques, des institutions financières, des entreprises de courtage et des compagnies d’assurances.
Jusque-là les banques pouvaient réaliser de telles opérations dans une limite de 25% de leur capital.
La circulaire du 27 octobre vise les contributions indirectes et les partenariats effectués par des entreprises ou des fonds d’investissement, dont les banques sont actionnaires.
La nouvelle restriction concerne tout placement direct ou indirect dans des instruments financiers, comme des prêts, des obligations, des actions préférentielles, etc.
Cette approbation préalable n’est pas obligatoire dans deux cas, selon la circulaire. D’une part si la banque détient au moins 20% du capital de l’institution concernée à condition que l’opération ou la participation réalisée par cette dernière à l’étranger ne dépasse pas 20% de son capital. D’autre part, si la banque possède moins de 20% des actions ou des parts des banques étrangères ou institutions financières désirant effectuer un partenariat ou un investissement dans le secteur financier étranger quelque soit le pourcentage de cet investissement ou du partenariat.
Jusque-là les banques pouvaient réaliser de telles opérations dans une limite de 25% de leur capital.
La circulaire du 27 octobre vise les contributions indirectes et les partenariats effectués par des entreprises ou des fonds d’investissement, dont les banques sont actionnaires.
La nouvelle restriction concerne tout placement direct ou indirect dans des instruments financiers, comme des prêts, des obligations, des actions préférentielles, etc.
Cette approbation préalable n’est pas obligatoire dans deux cas, selon la circulaire. D’une part si la banque détient au moins 20% du capital de l’institution concernée à condition que l’opération ou la participation réalisée par cette dernière à l’étranger ne dépasse pas 20% de son capital. D’autre part, si la banque possède moins de 20% des actions ou des parts des banques étrangères ou institutions financières désirant effectuer un partenariat ou un investissement dans le secteur financier étranger quelque soit le pourcentage de cet investissement ou du partenariat.