Profitant de la réussite de son projet LIV Mar Mikhael, Premium Projects vient de démarrer les ventes de LIV Saifi dans le même esprit et avec le même architecte. Entretien avec Ziad Karkaji, directeur du département immobilier du groupe.
Fin 2012, vous lanciez la commercialisation de LIV Mar Mikhael. Deux ans plus tard, c’est au tour de LIV Saifi. LIV va-t-il devenir une marque ?
Nous ne le savons pas encore, mais il est vrai que les projets sont similaires avec le même architecte, Bernard Khoury. La forme de la parcelle rectangulaire est également très proche. Nous avons voulu garder le même concept. Les espaces communs sont lumineux avec des baies vitrées. Les petits appartements ont des salons qui bénéficient d’une hauteur sous plafond de 4,4 mètres. Suite au succès du projet à Mar Mikhaël où nous n’avons plus que trois unités sur 23 à vendre, les initiales LIV commencent à être reconnues. Nous avons voulu en profiter pour lancer un second LIV à Saïfi, rue al-Arz à quelques mètres du centre-ville de Beyrouth.
Combien d’appartements LIV Saifi offre-t-il ?
LIV Saifi totalise 22 unités. Les premiers étages comptent trois appartements de 116, 152 et 186 m2. Les chambres à coucher sont situées sur des doubles niveaux “split-level”. À partir du 7e étage, nous proposons un simplex de 295 m2, deux duplex de 249 et 253 m2, et un penthouse de 400 m2 avec une terrasse de 100 m2. Nous avons ainsi plusieurs gammes de produits pour différents budgets.
Pourquoi démarrer LIV Saifi dans une période de ralentissement du marché ?
La situation sécuritaire affecte surtout à notre avis l’immobilier d’affaires. En revanche, il y a toujours une demande pour le résidentiel. Tant que les transports seront autant problématiques dans l’agglomération de Beyrouth, résider au cœur de la capitale sera toujours un luxe dans le sens que cela sera un privilège. Par exemple, 75 % du projet LIV Mar Mikhael a été vendu en deux ans. Cela prouve qu’il y a une attente pour des produits atypiques. Le marché compte beaucoup de projets standard. Mais il y a aussi une clientèle qui recherche des appartements différents. Offrir une architecture innovante est également un moyen de s’adapter à l’évolution du marché. Auparavant, la dynamique du secteur immobilier était tellement bonne que tout se vendait. Aujourd’hui, la donne a changé.
Hormis les projets LIV, comment se déroulent les travaux de vos autres projets ?
Sursock Yards sera livré en 2016. Le projet est à 80 % vendu. Notre grille de prix commence à 740 000 dollars pour un 142 m2.
Au centre-ville de Beyrouth, One Oak Residences sera terminé au cours du printemps 2015, quatre appartements sont encore à la vente sur un total de 25 unités.
Hors de Beyrouth, nous avons Mille Huit Cent à Faqra Club, un projet spécifique qui se démarque des projets classiques de la montagne.
Quel bilan dressez-vous de l’année 2014 ?
Nos ventes en 2014 sont satisfaisantes et le démarrage de LIV Saifi est encourageant. L’intérêt des clients prouve que nos produits plaisent. Toutefois, il suffirait d’un signe positif dans le pays sur le plan sécuritaire et politique pour que le marché immobilier se relance et que la demande augmente.
Mais ce cas de figure pourrait entraîner une hausse des prix ?
Pas nécessairement. Mais cela pourrait dans un premier temps modifier la marge de négociation et rééquilibrer les rapports entre l’acheteur et le propriétaire.
Nous ne le savons pas encore, mais il est vrai que les projets sont similaires avec le même architecte, Bernard Khoury. La forme de la parcelle rectangulaire est également très proche. Nous avons voulu garder le même concept. Les espaces communs sont lumineux avec des baies vitrées. Les petits appartements ont des salons qui bénéficient d’une hauteur sous plafond de 4,4 mètres. Suite au succès du projet à Mar Mikhaël où nous n’avons plus que trois unités sur 23 à vendre, les initiales LIV commencent à être reconnues. Nous avons voulu en profiter pour lancer un second LIV à Saïfi, rue al-Arz à quelques mètres du centre-ville de Beyrouth.
Combien d’appartements LIV Saifi offre-t-il ?
LIV Saifi totalise 22 unités. Les premiers étages comptent trois appartements de 116, 152 et 186 m2. Les chambres à coucher sont situées sur des doubles niveaux “split-level”. À partir du 7e étage, nous proposons un simplex de 295 m2, deux duplex de 249 et 253 m2, et un penthouse de 400 m2 avec une terrasse de 100 m2. Nous avons ainsi plusieurs gammes de produits pour différents budgets.
Pourquoi démarrer LIV Saifi dans une période de ralentissement du marché ?
La situation sécuritaire affecte surtout à notre avis l’immobilier d’affaires. En revanche, il y a toujours une demande pour le résidentiel. Tant que les transports seront autant problématiques dans l’agglomération de Beyrouth, résider au cœur de la capitale sera toujours un luxe dans le sens que cela sera un privilège. Par exemple, 75 % du projet LIV Mar Mikhael a été vendu en deux ans. Cela prouve qu’il y a une attente pour des produits atypiques. Le marché compte beaucoup de projets standard. Mais il y a aussi une clientèle qui recherche des appartements différents. Offrir une architecture innovante est également un moyen de s’adapter à l’évolution du marché. Auparavant, la dynamique du secteur immobilier était tellement bonne que tout se vendait. Aujourd’hui, la donne a changé.
Hormis les projets LIV, comment se déroulent les travaux de vos autres projets ?
Sursock Yards sera livré en 2016. Le projet est à 80 % vendu. Notre grille de prix commence à 740 000 dollars pour un 142 m2.
Au centre-ville de Beyrouth, One Oak Residences sera terminé au cours du printemps 2015, quatre appartements sont encore à la vente sur un total de 25 unités.
Hors de Beyrouth, nous avons Mille Huit Cent à Faqra Club, un projet spécifique qui se démarque des projets classiques de la montagne.
Quel bilan dressez-vous de l’année 2014 ?
Nos ventes en 2014 sont satisfaisantes et le démarrage de LIV Saifi est encourageant. L’intérêt des clients prouve que nos produits plaisent. Toutefois, il suffirait d’un signe positif dans le pays sur le plan sécuritaire et politique pour que le marché immobilier se relance et que la demande augmente.
Mais ce cas de figure pourrait entraîner une hausse des prix ?
Pas nécessairement. Mais cela pourrait dans un premier temps modifier la marge de négociation et rééquilibrer les rapports entre l’acheteur et le propriétaire.