C’est un chardonnay boisé, ce tout nouveau Marquis de Beys blanc. Lancé début août, au prix de 22 dollars, ce vin du Domaine des Tourelles a passé huit mois en barriques de chêne neuves avant d’être embouteillé. Pour la cave de Chtaura, ce monocépage, 100 % chardonnay, vient compléter une gamme, qui compte désormais six étiquettes. « C’est un vin de garde. Il peut évoluer facilement sur dix ans », explique Faouzi Issa, œnologue du Domaine des Tourelles.
Ce Marquis de Beys se veut une alternative locale aux chardonnays bourguignons, le cépage principal de cette région française en blanc, parmi les plus plantés au monde. Facile à conduire, le chardonnay est apprécié du grand public, qui l’identifie facilement. Il est d’ailleurs bien représenté dans le vignoble libanais où deux caves, Château Ksara et Domaine Wardy de la Békaa, le proposent déjà en monocépage. Pour le millésime 2013, commercialisé aujourd’hui, le Domaine des Tourelles a produit 5 000 cols. En vitesse de croisière, le domaine devrait cependant écouler 10 à 12 000 bouteilles par an, pour moitié sur le marché local et pour une autre moitié sur le marché international.
Ce Marquis de Beys se veut une alternative locale aux chardonnays bourguignons, le cépage principal de cette région française en blanc, parmi les plus plantés au monde. Facile à conduire, le chardonnay est apprécié du grand public, qui l’identifie facilement. Il est d’ailleurs bien représenté dans le vignoble libanais où deux caves, Château Ksara et Domaine Wardy de la Békaa, le proposent déjà en monocépage. Pour le millésime 2013, commercialisé aujourd’hui, le Domaine des Tourelles a produit 5 000 cols. En vitesse de croisière, le domaine devrait cependant écouler 10 à 12 000 bouteilles par an, pour moitié sur le marché local et pour une autre moitié sur le marché international.