Le Liban a perdu quatre places dans le dernier classement de la Banque mondiale sur la bonne gouvernance, occupant le 124e rang sur 215 pays. Ce classement prends en compte six indicateurs : la stabilité politique, l’efficacité gouvernementale, la qualité des régulations, la corruption, la responsabilisation et l’Etat de droit.
Au niveau de la stabilité politique, le Liban a été classé à la 192e place, en baisse de 15 places par rapport au précédent rapport. Cet indicateur mesure la probabilité de déstabilisation ou de renversement du gouvernement par la force ou par des moyens anticonstitutionnels pendant l'année concernée.
Le deuxième indicateur concerne l'efficacité gouvernementale, notamment la qualité du service public, et l'indépendance de l'administration des pressions politiques. À ce niveau, le Liban perd quatre places au niveau mondial, pour se classer 124e. Au niveau de la responsabilisation, le Liban occupe la 135e place, perdant trois positions par rapport à 2013. Selon l'indicateur de la qualité des régulations, qui mesure la capacité des gouvernements à formuler des politiques et des régulations propices au développement du secteur privé, le Liban est classé 112e. Au niveau de l'État de droit, le Liban est classé 159e, en baisse de trois places. Enfin, le Liban perd 10 places et devient 181e en termes de contrôle de la corruption.
Le deuxième indicateur concerne l'efficacité gouvernementale, notamment la qualité du service public, et l'indépendance de l'administration des pressions politiques. À ce niveau, le Liban perd quatre places au niveau mondial, pour se classer 124e. Au niveau de la responsabilisation, le Liban occupe la 135e place, perdant trois positions par rapport à 2013. Selon l'indicateur de la qualité des régulations, qui mesure la capacité des gouvernements à formuler des politiques et des régulations propices au développement du secteur privé, le Liban est classé 112e. Au niveau de l'État de droit, le Liban est classé 159e, en baisse de trois places. Enfin, le Liban perd 10 places et devient 181e en termes de contrôle de la corruption.