Copropriétaire des bistrots Couqley, Alexis Couquelet débarque à Beyrouth en 2004 où très vite, il se met à son compte. « J’ai toujours été persuadé qu’il fallait proposer au Liban une cuisine de bistrot de qualité, à un prix coupé au couteau. » Aujourd’hui, son concept s’exporte à Dubaï, où il doit ouvrir une première franchise. Titulaire d’un diplôme de l’Académie des arts culinaires du New Jersey (USA), où il est né, il vient de rejoindre le club des maîtres cuisiniers de France, le pays où il a fait ses armes aux côtés de grands chefs comme Alain Ducasse.
Domaine de Baal, Baal 2010 & Côte de bœuf persillée et braisée
Derrière le vin, j’aime les hommes qui le font : pour moi, Sébastien Khoury, qui a lancé Baal à Zahlé, est le symbole de ce que devrait être un vigneron : un homme sans ambivalence, qui connaît son métier sur le bout des doigts. Son vin lui ressemble. Son rouge a la beauté des vins simples et précis. Un nez solaire de fruits rouge et noir, où domine la suavité de la syrah. Avec ce Baal 2010, je mettrai l’accent sur des produits de haute qualité comme une viande rouge. Il fait, par exemple, des merveilles sur une côte de bœuf braisée et persillée.
Cabernet-sauvignon, merlot, syrah, 32 $
Château Belle-Vue, La Renaissance 2008 & Daube de sanglier
J’ai tardé à ouvrir le Château de cette cave, reçu en cadeau, n’imaginant pas du tout ce qui m’attendait. Ça a été la vraie révélation ! Je le dis avec d’autant plus de facilité que ce vin n’est pas sur ma carte : il est chaleureux, intense, profond. La Renaissance me fait un effet similaire : la couleur est très concentrée ; le nez intense, sur des fruits noirs épicés. Le boisé est bien présent et enrobe la bouche de chaleur. Je l’imagine bien sûr sur une viande rouge. Pour être un peu plus original, je le recommande sur des gibiers, comme un chevreuil, ou un sanglier, voire une daube de sanglier.
Cabernet-sauvignon, merlot, 45 $
Marsyas blanc 2013 & Feuilleté de Saint-Jacques chaudes
Karim et Sandro Saadé, qui ont fondé Château Marsyas, sont devenus des amis à force de les croiser au Couqley. J’aime l’entêtement qui leur a permis de monter de zéro, ce que je considère comme un des très beaux vins blancs du Liban. Ce qui le résume ? Je dirais une « jolie gourmandise ». Rien n’est en trop. Pour l’accompagner, aucun doute possible : des poissons, cuits au four ou en filet. Pour les fêtes, je le joue avec une très belle entrée : un feuilleté de coquilles Saint-Jacques chaudes ou bien une poêlée de champignons de saison en feuilleté.
Chardonnay, sauvignon blanc, 22,4 $
Domaine de Baal, Baal 2010 & Côte de bœuf persillée et braisée
Derrière le vin, j’aime les hommes qui le font : pour moi, Sébastien Khoury, qui a lancé Baal à Zahlé, est le symbole de ce que devrait être un vigneron : un homme sans ambivalence, qui connaît son métier sur le bout des doigts. Son vin lui ressemble. Son rouge a la beauté des vins simples et précis. Un nez solaire de fruits rouge et noir, où domine la suavité de la syrah. Avec ce Baal 2010, je mettrai l’accent sur des produits de haute qualité comme une viande rouge. Il fait, par exemple, des merveilles sur une côte de bœuf braisée et persillée.
Cabernet-sauvignon, merlot, syrah, 32 $
Château Belle-Vue, La Renaissance 2008 & Daube de sanglier
J’ai tardé à ouvrir le Château de cette cave, reçu en cadeau, n’imaginant pas du tout ce qui m’attendait. Ça a été la vraie révélation ! Je le dis avec d’autant plus de facilité que ce vin n’est pas sur ma carte : il est chaleureux, intense, profond. La Renaissance me fait un effet similaire : la couleur est très concentrée ; le nez intense, sur des fruits noirs épicés. Le boisé est bien présent et enrobe la bouche de chaleur. Je l’imagine bien sûr sur une viande rouge. Pour être un peu plus original, je le recommande sur des gibiers, comme un chevreuil, ou un sanglier, voire une daube de sanglier.
Cabernet-sauvignon, merlot, 45 $
Marsyas blanc 2013 & Feuilleté de Saint-Jacques chaudes
Karim et Sandro Saadé, qui ont fondé Château Marsyas, sont devenus des amis à force de les croiser au Couqley. J’aime l’entêtement qui leur a permis de monter de zéro, ce que je considère comme un des très beaux vins blancs du Liban. Ce qui le résume ? Je dirais une « jolie gourmandise ». Rien n’est en trop. Pour l’accompagner, aucun doute possible : des poissons, cuits au four ou en filet. Pour les fêtes, je le joue avec une très belle entrée : un feuilleté de coquilles Saint-Jacques chaudes ou bien une poêlée de champignons de saison en feuilleté.
Chardonnay, sauvignon blanc, 22,4 $