L'Union des banques arabes estime dans son dernier rapport annuel, publié le 28 décembre 2015, que les banques libanaises « ne seront pas confrontées à des risques majeurs en 2016 ».
Le rapport rappelle toutefois que le Liban reste confronté à « un ralentissement de la croissance des dépôts qui s’établit au même niveau que celle enregistrée dans la majorité des pays arabes – elle est passée de 6 % à 3,2 % sur les neuf premiers mois de 2015 par rapport à la même période en 2014 ».
Le rapport souligne aussi « le ralentissement de la croissance du crédit bancaire au Liban qui est passé de 4,5 % à 1,8 % entre janvier et septembre 2015 en glissement annuel ». Une tendance qui se retrouve dans la majorité des pays arabes, à l'exception des Émirats arabes unis, du Koweït, de Bahreïn et de l'Égypte.
Enfin, selon l'Union des banques arabes, les banques libanaises ont représenté 2,03 % du total des actifs des banques arabes fin septembre.
Le rapport souligne aussi « le ralentissement de la croissance du crédit bancaire au Liban qui est passé de 4,5 % à 1,8 % entre janvier et septembre 2015 en glissement annuel ». Une tendance qui se retrouve dans la majorité des pays arabes, à l'exception des Émirats arabes unis, du Koweït, de Bahreïn et de l'Égypte.