Arnaud Aucœur,
Saint-Amour de tout Cœur 2014
La famille Aucœur est une vieille dynastie : depuis 1825, ces vignerons de pères en fils (et en filles) sont installés à Villé Morgon, entre Bourgogne et Beaujolais. Ils produisent de délicieux morgons et des juliénas plutôt goûtus. Mais leur Saint-Amour mérite aussi l’attention : c’est un très bon rapport qualité/prix, qui peut encore vieillir trois à cinq ans. La robe est d’un rouge intense avec des reflets sombres d’un joli rouge violine. Au nez, son bouquet dégage des notes de cerises mûres, de baies rouges, en particulier de canneberges. On y débusque même un soupçon d’amande, ce qui lui confère un côté mature et élégant. La bouche est acidulée, fraîche avec des tannins soutenus pour un 100 % gamay. La finesse reste le mot d’ordre de ce Saint-Amour. Un bon présage pour un dîner romantique !
Carrefour, 11,3 dollars.
Jean Loron,
Domaine des Billards 2012
Le domaine Jean Loron remonte loin dans le temps lui aussi : c’est en 1711 qu’on retrouve un sieur Jean, maître vigneron entre Beaujolais et Bourgogne. Reprise par la famille Charlet, alors simples négociants à Saint-Amour, l’entreprise en est à sa huitième génération. Pour ce domaine des Billards, une parcelle de 13 hectares, sise dans l’appellation Saint-Amour, cette maison s’est voulue ambitieuse. Résultat ? Plutôt charmeur. D’autant que ce millésime, relativement ancien, garde une vivacité étonnante ! Laissez-le respirer une quinzaine de minutes, vous découvrirez alors son nez légèrement kirch avec lequel s’entremêlent des notes de sous-bois. Le palais est vif, fruité et souple. On peut encore conserver deux années supplémentaires. Une “délicatesse”, à servir avec une volaille grillée ou un bon jambonneau.
E. Nicolas, 29,20 dollars.
Saint-Amour de tout Cœur 2014
La famille Aucœur est une vieille dynastie : depuis 1825, ces vignerons de pères en fils (et en filles) sont installés à Villé Morgon, entre Bourgogne et Beaujolais. Ils produisent de délicieux morgons et des juliénas plutôt goûtus. Mais leur Saint-Amour mérite aussi l’attention : c’est un très bon rapport qualité/prix, qui peut encore vieillir trois à cinq ans. La robe est d’un rouge intense avec des reflets sombres d’un joli rouge violine. Au nez, son bouquet dégage des notes de cerises mûres, de baies rouges, en particulier de canneberges. On y débusque même un soupçon d’amande, ce qui lui confère un côté mature et élégant. La bouche est acidulée, fraîche avec des tannins soutenus pour un 100 % gamay. La finesse reste le mot d’ordre de ce Saint-Amour. Un bon présage pour un dîner romantique !
Carrefour, 11,3 dollars.
Jean Loron,
Domaine des Billards 2012
Le domaine Jean Loron remonte loin dans le temps lui aussi : c’est en 1711 qu’on retrouve un sieur Jean, maître vigneron entre Beaujolais et Bourgogne. Reprise par la famille Charlet, alors simples négociants à Saint-Amour, l’entreprise en est à sa huitième génération. Pour ce domaine des Billards, une parcelle de 13 hectares, sise dans l’appellation Saint-Amour, cette maison s’est voulue ambitieuse. Résultat ? Plutôt charmeur. D’autant que ce millésime, relativement ancien, garde une vivacité étonnante ! Laissez-le respirer une quinzaine de minutes, vous découvrirez alors son nez légèrement kirch avec lequel s’entremêlent des notes de sous-bois. Le palais est vif, fruité et souple. On peut encore conserver deux années supplémentaires. Une “délicatesse”, à servir avec une volaille grillée ou un bon jambonneau.
E. Nicolas, 29,20 dollars.