La Byblos Bank n’a pas encore formalisé sa politique de RSE. Ce qui ne l’empêche pas d’avoir « un engagement social fort », relève Nada Tawil, directrice de la communication. Parmi ses actions, le groupe replante des cèdres dans les réserves naturelles du Liban depuis une dizaine d’années. Aujourd’hui, la banque appuie la création d’un “corridor écologique” entre la réserve du Barouk, dans le Chouf, et les contreforts d’Ammiq, côté Békaa, afin de relier ces deux milieux naturels, leur permettant ensuite de se développer seul dans un espace suffisant. Autre registre de la politique de la banque : le soutien à la photographie libanaise. Outre le prix dispensé chaque année à un jeune photographe libanais, la Byblos diligente un programme d’aide à la création (cours de perfectionnement, mise en contact avec des galeries, expositions…) pour de jeunes photographes. Quelque 200 d’entre eux en ont déjà bénéficié. Enfin, Byblos Bank subventionne le Festival de photographie méditerranéenne Photomed-Liban. « Pour nous, ce n’est pas seulement du mécénat. Autrement, nous nous serions contentés d’acheter de la photographie. Il y a une implication, notamment vis-à-vis des jeunes talents, auxquels nous tenons. » À un tout autre niveau, la banque développe depuis peu des outils afin d’aider à une meilleure compréhension de l’économie : en plus de spots TV ludiques et d’articles dans les médias, la banque lance dans les prochains mois un programme de formation à destination des jeunes.
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