« Bank Audi a décidé de mettre en place un département RSE en 2010, mais cela ne signifie pas qu’auparavant, nous ne nous en préoccupions pas. Au contraire, notre banque a toujours montré une responsabilité sociale très forte, qu’il s’agisse des actions menées dans le domaine culturel, le développement économique et maintenant l’environnement. C’est dans notre ADN », assure Hasmig Khoury, responsable RSE de la banque. Pionnière, la Bank Audi fait partie des rares banques à rédiger un rapport complet chaque année. Les indices de performance, qui permettent de se faire une idée de l’amélioration de la RSE au sein de l’entreprise, sont calculés à partir de normes internationales, mises en place par les Nations unies. Si la “gouvernance d’entreprise” reste un passage obligé pour toute banque, Audi a aussi une longue tradition côté développement local. En 2014, le montant de ses contributions (culture, sports…) a ainsi atteint 4,7 millions de dollars (pour 403 millions de dollars de bénéfices nets). Depuis 2013, le groupe se focalise sur la protection de l’environnement : en interne, en se voulant plus “vert” (politique de zéro déchets, recyclage…) ; en externe, via notamment les prêts octroyés (subventionnés par la BDL) pour l’acquisition de chauffe-eau solaires, panneaux photovoltaïques… En tout, Bank Audi a ainsi fourni 52 millions de dollars de “crédits verts” en 2014.

L’initiative : un micro-site pour calculer son empreinte carbone
Destiné aux 10-15 ans, ce micro-site, disponible sur www.my-cfp.com, permet de mesurer ses dépenses en matière de ressources naturelles et de calculer l’impact de son activité sur l’environnement. En clair, d’être conscient de son empreinte carbone et potentiellement de chercher à la réduire. « Les personnes ayant obtenu les trois meilleurs résultats seront récompensées », assure la banque. De quoi renforcer la prise de conscience des plus jeunes, la “génération de demain” !