Par David Graeber
Éditions Babel, 2016
670 p., 8,59 €, Librairie Antoine
En remettant en perspective l’histoire de la dette depuis 5 000 ans, l’auteur renverse magistralement les théories admises. Il démontre que l’endettement a toujours été une construction sociale fondatrice du pouvoir. Aujourd’hui encore, les économistes entretiennent une vieille illusion : celle que l’opprobre est forcément à jeter sur les débiteurs, jamais sur les créanciers. Et si l’unique moyen d’éviter l’explosion sociale était justement d’effacer les dettes ? Cet essai foisonnant, écrit par une grande figure de la réflexion politique, a inspiré le mouvement “Occupy Wall Street”. Il permet de mieux comprendre l’histoire du monde, la crise du crédit en cours et l’avenir de l’économie.
Éditions Babel, 2016
670 p., 8,59 €, Librairie Antoine
En remettant en perspective l’histoire de la dette depuis 5 000 ans, l’auteur renverse magistralement les théories admises. Il démontre que l’endettement a toujours été une construction sociale fondatrice du pouvoir. Aujourd’hui encore, les économistes entretiennent une vieille illusion : celle que l’opprobre est forcément à jeter sur les débiteurs, jamais sur les créanciers. Et si l’unique moyen d’éviter l’explosion sociale était justement d’effacer les dettes ? Cet essai foisonnant, écrit par une grande figure de la réflexion politique, a inspiré le mouvement “Occupy Wall Street”. Il permet de mieux comprendre l’histoire du monde, la crise du crédit en cours et l’avenir de l’économie.