Château Khoury, Rêve Blanc 2015
8,80 $
Dans la catégorie des “bons coups”, ce Rêve Blanc est assurément une valeur sûre. Lancé en 2008, il maintient depuis sa “ligne” : plaisir immédiat, abord facile, bonne faconde… On aime chez lui ce “parler franc” : cette année, il joue sur des notes très fruitées. On aime aussi cette pointe de gewurztraminer, le cépage allemand et alsacien que les Khoury ont acclimaté à la Békaa, et qui ajoute ici mezza voce une chaleur aromatique en bouche. Parmi les meilleurs rapports qualité/prix du marché.
Riesling, chardonnay et gewurztraminer.
Château Ka, Source Blanche 2014
9,70 $
Sous des dehors de grande princesse inaccessible – bouteille et étiquette standing… – cette Source Blanche nous la joue soubrette, dans le genre des “amours ancillaires” si chères à san Antonio. Une belle cuvée, bien troussée, à la peau pâle, à la chair ferme et aux parfums de fruits et de fleurs. On aime sa densité ainsi que cette longue finale, qui nous donne l’impression d’un baiser rafraîchissant sur une peau gorgée de soleil. À boire maintenant.
Muscat, sauvignon blanc, viognier et chardonnay.
Domaine des Tourelles, Blanc 2015
10 $
Dans un monde où nous cherchons tous le superlatif, dire de ce vin qu’il est “honnête” pourrait sembler péjoratif. Pourtant, c’est bien de cela qu’il s’agit ici : un blanc simple, sans ostentation ni emphase, mais droit dans ses cuves. Ses arômes sont expressifs, avec des notes évidentes de litchi et d’abricot. On y débusque aussi une pointe de miel ou de gras, à attribuer à la partition en contre-alto du chardonnay, qui joue le rôle de structurant. Vin sans élevage en bois, il est “brut de décoffrage” et laisse les saveurs s’exprimer sans maquillage. Un bon rapport qualité/prix.
Viognier, chardonnay et muscat d’Alexandrie.
Massaya Blanc 2015
10,70 $
Nouvelle étiquette pour les vins de Massaya. Pourtant, c’est bien ce “petit blanc” vif et direct qu’on aimait déjà et qu’on retrouve ici avec délectation. Bien construit, agréable, ce blanc se caractérise par des arômes de fruits blancs associés à une note citronnée. Dans son assemblage, Massaya emploie l’obeidi, le cépage (blanc) endémique du Liban : ce cépage, au nez discret, se marie facilement à d’autres variétés plus intenses comme le sauvignon ou le viognier.
Obeidi, clairette, sauvignon blanc et chardonnay.
Karam Winery, Cloud Nine 2015
11 $
Il y a parfois des cieux liquides autour de Jezzine. C’est ce qu’évoque ce Cloud Nine, imaginé par “Captain Karam”, de son vrai nom Habib Karam, pilote à la Middle East Airlines, quand il n’arpente pas ses vignobles de Jezzine, sa région natale. Le 2015 a cette couleur de miel translucide, une robe fluide et brillante qui annonce un nez charmant de fruits blancs.… Pas snob, ce “boit sans soif” est un vin alerte et plaisant, à un prix attractif.
Muscat, sémillon, viognier et sauvignon blanc.
Ixsir, Altitudes Blanc 2015
12 $
Altitude Blanc a toujours été l’une des réussites d’Ixsir. Un vin simple et charmant, bien équilibré, avec juste ce qu’il faut de robustesse pour asseoir la structure. En bouche, on aime son côté perlé, qui ajoute une touche de fraîcheur. Nouveauté pour le 2015 : l’ajout de 40 % d’obeidi, le cépage (blanc) endémique du Liban, au couple muscat-viognier. Résultat ? Un vin toujours très aromatique, où les arômes se la “pètent grave” comme on dirait dans une cour de récréation, bluffé de tant d’exubérance. C’est simple et drôlement bon !
Obeidi, muscat et viognier
Château Musar, Musar Jeune 2014
13,20 $
Comme le rappelle Musar, dans sa note de dégustation de cette cuvée jeune, le millésime 2014 fut un cauchemar pour les cultivateurs libanais. Peu de pluies, pas de neige et beaucoup de soleil sur les hauteurs de la Békaa. Malgré tout, les vignes qui parvinrent à survivre s’en sortent plutôt bien avec des rendements certes minimes, mais des raisins très concentrés. Résultat, une expression aromatique avec des exhalaisons florales, typiques d’un chardonnay sous les cieux libanais. On aime également cette pointe de vermentino, cépage très répandu en Italie, plus rare au Liban, qui apporte un “petit plus” de légèreté.
Vin culture biologique, viognier, vermentino et chardonnay.
Château Qanafar, Blanc 2015
14,30 $
On aime beaucoup ce domaine perdu au fin fond de la Békaa-Ouest. Pour leur blanc, les Naïm, qui ont démarré la production en 2008, ont misé sur un 100 % sauvignon. Un choix gagnant : on se souvient encore du magnifique équilibre de leur 2013. Au nez, ce 2015 envoie la sauce : un côté “exotique” jouissif ; un panaché d’agrumes, de pamplemousses et de citrus en particulier, auquel vient se joindre une gracieuse pointe de chèvrefeuille. En bouche, toutefois, profondeur et corps semblent avoir du mal à s’imposer face à une assez forte sucrosité. Dommage, car prometteur.
100 % sauvignon.
Batrouns Mountains, Riesling 2015
15 $
Si vous voulez vous différencier des sempiternels chardonnays, qui dominent le marché des blancs, ce vin est une bonne option : un 100 % riesling, frais, bien ferme, avec une acidité correcte. Alors qu’on pourrait croire les vignobles libanais trop chauds pour ce cépage, certains producteurs locaux ont su identifier des régions pour lui complaire. Batroun Mountains, dont les vignes sont plantées à 1 500 mètres d’altitude, l’a ainsi acclimaté. Un vin qui se boit sans complexe.
100 % riesling.
Château Saint-Thomas, Obeidi
16,60 $
À ceux qui cherchent un effet de surprise renouvelé pour leur table d’été, on conseille ce 100 % Obeidi, le cépage blanc endémique du Liban, que toutes les caves s’arrachent désormais, marketing oblige. Avec cette toute petite production (moins de 5 000 bouteilles chaque année), Château Saint-Thomas l’expérimente en monocépage et sans passage en bois, idéal pour apprendre à connaître cette variété. Discret au nez, sa bouche est fraîche et légère. Il convient à un déjeuner de midi entre amis.
100 % obeidi.
Château Aurora, Cuvée N 2015
20 $
Cuvée N est une microcuvée de la maison Aurora (Batroun), produite à 1 200 cols seulement chaque année. D’inspiration contemporaine, son 100 % sauvignon blanc, aux reflets verts comme un regain d’herbes après la coupe, a pour lui un joli “fruit” (tendance agrume, en particulier citrus) qui ne se dément pas. Un apéritif sympa.
100 % sauvignon blanc.
Château Belle-Vue, Petit Geste 2014
45 $
Si on devait chercher une comparaison, il faudrait parler de ces beautés froides comme la divine Ingrid Bergman, cette actrice qui condensait une forme de naturel à une élégance précieuse. Aromatique, très élégant, le tandem sauvignon-viognier de ce Petit Geste grise nez et palais d’une becquée de fruits exotiques, fruits de la passion en tête, melons et pêches jaunes en second. Un très grand classique, à boire bien frais, même si on regrette un prix, qui l’éloigne du “petit geste”, pensé sur le pouce pour le rendre plus rare.
Sauvignon blanc et viognier.
8,80 $
Dans la catégorie des “bons coups”, ce Rêve Blanc est assurément une valeur sûre. Lancé en 2008, il maintient depuis sa “ligne” : plaisir immédiat, abord facile, bonne faconde… On aime chez lui ce “parler franc” : cette année, il joue sur des notes très fruitées. On aime aussi cette pointe de gewurztraminer, le cépage allemand et alsacien que les Khoury ont acclimaté à la Békaa, et qui ajoute ici mezza voce une chaleur aromatique en bouche. Parmi les meilleurs rapports qualité/prix du marché.
Riesling, chardonnay et gewurztraminer.
Château Ka, Source Blanche 2014
9,70 $
Sous des dehors de grande princesse inaccessible – bouteille et étiquette standing… – cette Source Blanche nous la joue soubrette, dans le genre des “amours ancillaires” si chères à san Antonio. Une belle cuvée, bien troussée, à la peau pâle, à la chair ferme et aux parfums de fruits et de fleurs. On aime sa densité ainsi que cette longue finale, qui nous donne l’impression d’un baiser rafraîchissant sur une peau gorgée de soleil. À boire maintenant.
Muscat, sauvignon blanc, viognier et chardonnay.
Domaine des Tourelles, Blanc 2015
10 $
Dans un monde où nous cherchons tous le superlatif, dire de ce vin qu’il est “honnête” pourrait sembler péjoratif. Pourtant, c’est bien de cela qu’il s’agit ici : un blanc simple, sans ostentation ni emphase, mais droit dans ses cuves. Ses arômes sont expressifs, avec des notes évidentes de litchi et d’abricot. On y débusque aussi une pointe de miel ou de gras, à attribuer à la partition en contre-alto du chardonnay, qui joue le rôle de structurant. Vin sans élevage en bois, il est “brut de décoffrage” et laisse les saveurs s’exprimer sans maquillage. Un bon rapport qualité/prix.
Viognier, chardonnay et muscat d’Alexandrie.
Massaya Blanc 2015
10,70 $
Nouvelle étiquette pour les vins de Massaya. Pourtant, c’est bien ce “petit blanc” vif et direct qu’on aimait déjà et qu’on retrouve ici avec délectation. Bien construit, agréable, ce blanc se caractérise par des arômes de fruits blancs associés à une note citronnée. Dans son assemblage, Massaya emploie l’obeidi, le cépage (blanc) endémique du Liban : ce cépage, au nez discret, se marie facilement à d’autres variétés plus intenses comme le sauvignon ou le viognier.
Obeidi, clairette, sauvignon blanc et chardonnay.
Karam Winery, Cloud Nine 2015
11 $
Il y a parfois des cieux liquides autour de Jezzine. C’est ce qu’évoque ce Cloud Nine, imaginé par “Captain Karam”, de son vrai nom Habib Karam, pilote à la Middle East Airlines, quand il n’arpente pas ses vignobles de Jezzine, sa région natale. Le 2015 a cette couleur de miel translucide, une robe fluide et brillante qui annonce un nez charmant de fruits blancs.… Pas snob, ce “boit sans soif” est un vin alerte et plaisant, à un prix attractif.
Muscat, sémillon, viognier et sauvignon blanc.
Ixsir, Altitudes Blanc 2015
12 $
Altitude Blanc a toujours été l’une des réussites d’Ixsir. Un vin simple et charmant, bien équilibré, avec juste ce qu’il faut de robustesse pour asseoir la structure. En bouche, on aime son côté perlé, qui ajoute une touche de fraîcheur. Nouveauté pour le 2015 : l’ajout de 40 % d’obeidi, le cépage (blanc) endémique du Liban, au couple muscat-viognier. Résultat ? Un vin toujours très aromatique, où les arômes se la “pètent grave” comme on dirait dans une cour de récréation, bluffé de tant d’exubérance. C’est simple et drôlement bon !
Obeidi, muscat et viognier
Château Musar, Musar Jeune 2014
13,20 $
Comme le rappelle Musar, dans sa note de dégustation de cette cuvée jeune, le millésime 2014 fut un cauchemar pour les cultivateurs libanais. Peu de pluies, pas de neige et beaucoup de soleil sur les hauteurs de la Békaa. Malgré tout, les vignes qui parvinrent à survivre s’en sortent plutôt bien avec des rendements certes minimes, mais des raisins très concentrés. Résultat, une expression aromatique avec des exhalaisons florales, typiques d’un chardonnay sous les cieux libanais. On aime également cette pointe de vermentino, cépage très répandu en Italie, plus rare au Liban, qui apporte un “petit plus” de légèreté.
Vin culture biologique, viognier, vermentino et chardonnay.
Château Qanafar, Blanc 2015
14,30 $
On aime beaucoup ce domaine perdu au fin fond de la Békaa-Ouest. Pour leur blanc, les Naïm, qui ont démarré la production en 2008, ont misé sur un 100 % sauvignon. Un choix gagnant : on se souvient encore du magnifique équilibre de leur 2013. Au nez, ce 2015 envoie la sauce : un côté “exotique” jouissif ; un panaché d’agrumes, de pamplemousses et de citrus en particulier, auquel vient se joindre une gracieuse pointe de chèvrefeuille. En bouche, toutefois, profondeur et corps semblent avoir du mal à s’imposer face à une assez forte sucrosité. Dommage, car prometteur.
100 % sauvignon.
Batrouns Mountains, Riesling 2015
15 $
Si vous voulez vous différencier des sempiternels chardonnays, qui dominent le marché des blancs, ce vin est une bonne option : un 100 % riesling, frais, bien ferme, avec une acidité correcte. Alors qu’on pourrait croire les vignobles libanais trop chauds pour ce cépage, certains producteurs locaux ont su identifier des régions pour lui complaire. Batroun Mountains, dont les vignes sont plantées à 1 500 mètres d’altitude, l’a ainsi acclimaté. Un vin qui se boit sans complexe.
100 % riesling.
Château Saint-Thomas, Obeidi
16,60 $
À ceux qui cherchent un effet de surprise renouvelé pour leur table d’été, on conseille ce 100 % Obeidi, le cépage blanc endémique du Liban, que toutes les caves s’arrachent désormais, marketing oblige. Avec cette toute petite production (moins de 5 000 bouteilles chaque année), Château Saint-Thomas l’expérimente en monocépage et sans passage en bois, idéal pour apprendre à connaître cette variété. Discret au nez, sa bouche est fraîche et légère. Il convient à un déjeuner de midi entre amis.
100 % obeidi.
Château Aurora, Cuvée N 2015
20 $
Cuvée N est une microcuvée de la maison Aurora (Batroun), produite à 1 200 cols seulement chaque année. D’inspiration contemporaine, son 100 % sauvignon blanc, aux reflets verts comme un regain d’herbes après la coupe, a pour lui un joli “fruit” (tendance agrume, en particulier citrus) qui ne se dément pas. Un apéritif sympa.
100 % sauvignon blanc.
Château Belle-Vue, Petit Geste 2014
45 $
Si on devait chercher une comparaison, il faudrait parler de ces beautés froides comme la divine Ingrid Bergman, cette actrice qui condensait une forme de naturel à une élégance précieuse. Aromatique, très élégant, le tandem sauvignon-viognier de ce Petit Geste grise nez et palais d’une becquée de fruits exotiques, fruits de la passion en tête, melons et pêches jaunes en second. Un très grand classique, à boire bien frais, même si on regrette un prix, qui l’éloigne du “petit geste”, pensé sur le pouce pour le rendre plus rare.
Sauvignon blanc et viognier.