L’université américaine de Beyrouth (AUB) vient d’inaugurer sa première installation d’énergie solaire : en tout, 474 panneaux photovoltaïques, pour une puissance maximale de 315 watts chacun, ont été installés sur le toit du bâtiment de la Faculté d’ingénierie et d’architecture (FEA). Cette première installation devrait permettre à l’AUB d’économiser quelque 40 000 dollars par an et de réduire ses émissions de CO2 de 150 tonnes annuelles.
A plus long terme toutefois, l’université souhaite « étendre ce projet sur l’ensemble de son campus pour économiser environ 500 000 dollars par an et 1 500 tonnes de C02 par an », précise le communiqué de presse de l’AUB. L’initiative a été financée à 85 % par le programme Medsolar de l'Union européenne, qui développe des générateurs équipés de systèmes photovoltaïques solaires au Liban, en Jordanie et en Palestine.
« Il est du devoir de l’AUB de montrer l’exemple et de mettre en œuvre des initiatives qui protègent l’environnement », indique le directeur de ce projet, Mohamad Khaled Joujou.
Selon l’Agence internationale de l'énergie (AIE), installer des panneaux solaires sur les toits des bâtiments pourrait permettre de fournir un tiers de la consommation électrique des villes d'ici à 2050, partout dans le monde.
A plus long terme toutefois, l’université souhaite « étendre ce projet sur l’ensemble de son campus pour économiser environ 500 000 dollars par an et 1 500 tonnes de C02 par an », précise le communiqué de presse de l’AUB. L’initiative a été financée à 85 % par le programme Medsolar de l'Union européenne, qui développe des générateurs équipés de systèmes photovoltaïques solaires au Liban, en Jordanie et en Palestine.
« Il est du devoir de l’AUB de montrer l’exemple et de mettre en œuvre des initiatives qui protègent l’environnement », indique le directeur de ce projet, Mohamad Khaled Joujou.
Selon l’Agence internationale de l'énergie (AIE), installer des panneaux solaires sur les toits des bâtiments pourrait permettre de fournir un tiers de la consommation électrique des villes d'ici à 2050, partout dans le monde.