Par Emmanuel Malard
Éditions François Bourin, 2016
224 p., 24,2 €, Librairie Antoine
Le marketing se doit d’être un interprète, un accompagnateur, qui transforme les caractéristiques d’un produit ou d’un service en usage ou en bénéfice potentiel, tout en décryptant les attentes de son public pour les faire se rencontrer. Bien sûr, le marketing peut être peu imaginatif, de mauvais goût, ringard ou sexiste. Il peut prendre les consommateurs de haut ou passer complètement à côté de son objectif. Mais le marketing peut, quand il respecte son audience, la marque et le produit, être inspiré, généreux, drôle, collaboratif, divertissant, inventif, impertinent… et capable de créer un lien privilégié, une part d’intangible, de capital non mesurable et d’affect, dans la relation aux marques.
Éditions François Bourin, 2016
224 p., 24,2 €, Librairie Antoine
Le marketing se doit d’être un interprète, un accompagnateur, qui transforme les caractéristiques d’un produit ou d’un service en usage ou en bénéfice potentiel, tout en décryptant les attentes de son public pour les faire se rencontrer. Bien sûr, le marketing peut être peu imaginatif, de mauvais goût, ringard ou sexiste. Il peut prendre les consommateurs de haut ou passer complètement à côté de son objectif. Mais le marketing peut, quand il respecte son audience, la marque et le produit, être inspiré, généreux, drôle, collaboratif, divertissant, inventif, impertinent… et capable de créer un lien privilégié, une part d’intangible, de capital non mesurable et d’affect, dans la relation aux marques.