Onze Libanaises figurent dans le classement annuel des 100 femmes d'affaires arabes les plus puissantes réalisé par le magazine Forbes Middle East. Le Liban est le troisième pays le plus représenté dans la liste, après les Emirats arabes unis (17 femmes) et l’Egypte (18), à égalité avec le Koweit .
Les Libanaises n’apparaissent toutefois que dans la deuxième moitié du classement. A la 55e place figure Sana Khater, directrice financière de Waha Capital, une société d’investissement basée à Abu Dhabi.
Randa el Assaad, qui dirige le cabinet de consultants Arif & Birtoak à Dubaï a été classée 57e, suivie par Mona Bawarshi, à la tête de la compagnie de transport turque Gezairi. Les deux partenaires du fonds d’investissement Leap Ventures, Hala Fadel et Noor Sweid, ont été classées respectivement au 60e et 61e rang, suivies de près par Ingie Chalhoub, présidente du groupe spécialisé dans le luxe Étoile (66e ), et Christine Sfeir, CEO de Treats Holding (69e).
La directrice et fondatrice de ClinServ international - une entreprise de recherche médicale basée à Beyrouth- Nadia Cheaib, et la vice-présidente du groupe de distribution libanais Fattal, Caroline Fattal Fakhoury, ont respectivement été classées 82e et 83e.
Plus bas dans le classement, on retrouve Myrna Soufan, COO de la banque Bemo (au 92e rang) et Jinan Zoya, directrice générale de Family Business Council, une organisation basée à Dubai (97e place).
Ce classement, publié chaque année depuis 2012, classe les femmes d’affaires selon leurs positions, la taille de l’entreprise au sein de laquelle elles travaillent (revenus, nombre d’employés…) et leur niveau d’influence.
Selon ces critères, la femme d’affaire la plus puissante du monde arabe est la saoudienne Lubna S. Olayan, PDG de l’entreprise Olayan Financing. La vice-gouverneur de la banque centrale égyptienne, Lobna Helal, et Raja Easa Al Gurg, directrice du groupe émirien Al Gurg complètent le podium.
Les Libanaises n’apparaissent toutefois que dans la deuxième moitié du classement. A la 55e place figure Sana Khater, directrice financière de Waha Capital, une société d’investissement basée à Abu Dhabi.
Randa el Assaad, qui dirige le cabinet de consultants Arif & Birtoak à Dubaï a été classée 57e, suivie par Mona Bawarshi, à la tête de la compagnie de transport turque Gezairi. Les deux partenaires du fonds d’investissement Leap Ventures, Hala Fadel et Noor Sweid, ont été classées respectivement au 60e et 61e rang, suivies de près par Ingie Chalhoub, présidente du groupe spécialisé dans le luxe Étoile (66e ), et Christine Sfeir, CEO de Treats Holding (69e).
La directrice et fondatrice de ClinServ international - une entreprise de recherche médicale basée à Beyrouth- Nadia Cheaib, et la vice-présidente du groupe de distribution libanais Fattal, Caroline Fattal Fakhoury, ont respectivement été classées 82e et 83e.
Plus bas dans le classement, on retrouve Myrna Soufan, COO de la banque Bemo (au 92e rang) et Jinan Zoya, directrice générale de Family Business Council, une organisation basée à Dubai (97e place).
Ce classement, publié chaque année depuis 2012, classe les femmes d’affaires selon leurs positions, la taille de l’entreprise au sein de laquelle elles travaillent (revenus, nombre d’employés…) et leur niveau d’influence.
Selon ces critères, la femme d’affaire la plus puissante du monde arabe est la saoudienne Lubna S. Olayan, PDG de l’entreprise Olayan Financing. La vice-gouverneur de la banque centrale égyptienne, Lobna Helal, et Raja Easa Al Gurg, directrice du groupe émirien Al Gurg complètent le podium.