De nombreux banquiers américains ont assuré à l'Association des banques du Liban (ABL), lors de leurs rencontres début octobre à New York, que les relations entre les banques libanaises et leurs banques américaines correspondantes ne sont pas menacées, lit-on dans un communiqué de l'ABL. Une délégation bancaire libanaise s'est rendue aux États-Unis – avec des représentants de l'Union des banques arabes et le gouverneur de la Banque du Liban – pour assister aux réunions annuelles de la Banque mondiale et du Fonds monétaire international à Washington.
« Alors que plusieurs banques américaines se dirigent vers une réduction de leurs relations avec leurs banques correspondantes ("derisking"), de nombreux banquiers américains ont vanté le professionnalisme des banques libanaises, et la durabilité de leurs relations de correspondance. Ils ont également insisté sur la continuité de ces dernières et leur volonté de les renforcer », a affirmé l'ABL.
Sont dites « correspondantes » les banques ayant échangé des listes de signatures ou de codes autorisés ou ayant ouvert un ou des comptes l'une chez l'autre pour effectuer des opérations en devises. Le système bancaire libanais dépend fortement des échanges avec les banques correspondantes, selon le gouverneur de la BDL, Riad Salamé.
« Alors que plusieurs banques américaines se dirigent vers une réduction de leurs relations avec leurs banques correspondantes ("derisking"), de nombreux banquiers américains ont vanté le professionnalisme des banques libanaises, et la durabilité de leurs relations de correspondance. Ils ont également insisté sur la continuité de ces dernières et leur volonté de les renforcer », a affirmé l'ABL.
Sont dites « correspondantes » les banques ayant échangé des listes de signatures ou de codes autorisés ou ayant ouvert un ou des comptes l'une chez l'autre pour effectuer des opérations en devises. Le système bancaire libanais dépend fortement des échanges avec les banques correspondantes, selon le gouverneur de la BDL, Riad Salamé.