Par Angus Deaton
Éditions PUF, 2016
384 p., 26,4 €, Librairie Antoine
Il fait meilleur vivre dans le monde de nos jours que par le passé. Les hommes se portent mieux, ils sont plus riches et vivent plus longtemps. Pourtant ce mouvement, qui a conduit une partie de l’humanité à s’évader de la misère, s’est fait au prix d’inégalités aujourd’hui flagrantes entre les pays et les populations. Angus Deaton, prix Nobel d’économie 2015, raconte dans cet ouvrage l’histoire de cette grande évasion qui, depuis 250 ans, a vu certaines parties du monde croître de manière spectaculaire, et creuser dans le même temps les inégalités. Analysant les ressorts de la prospérité et de la richesse des nations, il mesure le chemin qu’il reste à parcourir pour venir en aide aux laissés-pour-compte.
Éditions PUF, 2016
384 p., 26,4 €, Librairie Antoine
Il fait meilleur vivre dans le monde de nos jours que par le passé. Les hommes se portent mieux, ils sont plus riches et vivent plus longtemps. Pourtant ce mouvement, qui a conduit une partie de l’humanité à s’évader de la misère, s’est fait au prix d’inégalités aujourd’hui flagrantes entre les pays et les populations. Angus Deaton, prix Nobel d’économie 2015, raconte dans cet ouvrage l’histoire de cette grande évasion qui, depuis 250 ans, a vu certaines parties du monde croître de manière spectaculaire, et creuser dans le même temps les inégalités. Analysant les ressorts de la prospérité et de la richesse des nations, il mesure le chemin qu’il reste à parcourir pour venir en aide aux laissés-pour-compte.