Situé sur une parcelle de 17 000 m2 à Nabay, Dreamville, le nouveau projet de HEC Holding compte environ 30 000 m2 de surface résidentielle et comporte 176 appartements. Entretien avec Samer Hajjar, directeur général de HEC Holding.
Nabay compte déjà plusieurs projets résidentiels, est-ce une nouvelle région en développement dans le Metn ?
Les quartiers proches du littoral sont devenus chers. Nabay est une région avec des espaces verts à quelques minutes de l’hôpital Serhal et de Rabieh. La demande y est croissante. Construire à Nabay nous permet de proposer des appartements abordables à nos clients.
Comment se caractérise Dreamville ?
Dreamville comporte 19 immeubles de quatre étages. Un de ces immeubles comporte un parking pour les visiteurs, une salle de gym, un espace de jeux et une salle polyvalente. Ce complexe résidentiel aura également trois locaux commerciaux pour, entre autres, une épicerie et une pharmacie. Au total, Dreamville compte 176 appartements de 60 à 340 m2. Mais la majorité des surfaces varie de 125 à 150 m2. Nous donnons la flexibilité aux clients d’avoir de deux à trois chambres à coucher. Le choix des superficies permet de cibler les budgets de 200 000 à 250 000 dollars. La pente du site permet d’offrir des dégagements à chaque logement.
Pourquoi proposer des unités de 60 m2 dans une région plutôt recherchée par les familles ?
Nous avons six unités de ce type qui permettent d’être propriétaires à moindre coût, soit à partir de 115 000 dollars.
Comment se passe la commercialisation de Dreamville ?
À ce jour, environ 25 % des appartements sont vendus ou réservés.
Quelle est votre stratégie de communication ?
Nous allons commencer une grande campagne de publicité d’ici à la fin de l’année. Déjà notre site Internet est très transparent. Nous donnons accès à toutes les informations sur le projet : les surfaces, les prix, les spécifications et les disponibilités. De plus, notre communication se base sur les facilités bancaires que nous offrons pour Dreamville. Nos clients peuvent acheter un appartement sans aucun apport initial, avec des paiements mensuels qui commencent à partir de 500 dollars par mois. Ils peuvent aussi bénéficier d’un prêt bancaire sur trente ans avec un taux d’intérêt de 2,35 %. Il n’y aura pas d’intérêt sur les trois premières années. De plus, les acquéreurs auront également un “cashback” de 5 %.
Vous lancez Dreamville dans un contexte de stagnation du marché immobilier, d’où vient votre optimisme ?
Effectivement, le projet totalise environ 30 000 m2 de surface résidentielle. Cela représente plus de 50 millions de dollars de vente. Finalement, le secteur immobilier libanais évolue par cycle. C’est vrai que les années passées ont marqué un ralentissement. Mais nous nous attendons à une reprise du marché dès 2017. C’était le bon moment de lancer Dreamville.
Le Metn compte des centaines de chantiers résidentiels et d’immeubles avec des appartements invendus, le client a l’embarras du choix. Comment faire pour se démarquer ?
Oui, il y a beaucoup de projets en cours. Mais la demande existe. Les invendus sont des produits soit trop chers, soit avec des défauts avec des espaces perdus, des chambres trop petites et dans des immeuble de qualité médiocre. Les clients sont attentifs aux moindres détails. De notre côté, nous nous efforçons de répondre à la demande. De plus, nous sommes dans le secteur immobilier depuis 1959. Après chaque nouveau projet, nous gagnons en crédibilité.
Quels sont les taux de vente de vos autres projets immobiliers ?
Pour les projets Rosewood à Mansourié et La Pedra à Raboué, nous sommes respectivement à 84 et 75 %. Nous sommes satisfaits de ces chiffres surtout que le complexe Rosewood sera livré mi-2018. Pour le projet La Pedra, il nous reste cinq unités à la vente de 176 à 300 m2 à partir de 1 750 dollars par m2.
Les quartiers proches du littoral sont devenus chers. Nabay est une région avec des espaces verts à quelques minutes de l’hôpital Serhal et de Rabieh. La demande y est croissante. Construire à Nabay nous permet de proposer des appartements abordables à nos clients.
Comment se caractérise Dreamville ?
Dreamville comporte 19 immeubles de quatre étages. Un de ces immeubles comporte un parking pour les visiteurs, une salle de gym, un espace de jeux et une salle polyvalente. Ce complexe résidentiel aura également trois locaux commerciaux pour, entre autres, une épicerie et une pharmacie. Au total, Dreamville compte 176 appartements de 60 à 340 m2. Mais la majorité des surfaces varie de 125 à 150 m2. Nous donnons la flexibilité aux clients d’avoir de deux à trois chambres à coucher. Le choix des superficies permet de cibler les budgets de 200 000 à 250 000 dollars. La pente du site permet d’offrir des dégagements à chaque logement.
Pourquoi proposer des unités de 60 m2 dans une région plutôt recherchée par les familles ?
Nous avons six unités de ce type qui permettent d’être propriétaires à moindre coût, soit à partir de 115 000 dollars.
Comment se passe la commercialisation de Dreamville ?
À ce jour, environ 25 % des appartements sont vendus ou réservés.
Quelle est votre stratégie de communication ?
Nous allons commencer une grande campagne de publicité d’ici à la fin de l’année. Déjà notre site Internet est très transparent. Nous donnons accès à toutes les informations sur le projet : les surfaces, les prix, les spécifications et les disponibilités. De plus, notre communication se base sur les facilités bancaires que nous offrons pour Dreamville. Nos clients peuvent acheter un appartement sans aucun apport initial, avec des paiements mensuels qui commencent à partir de 500 dollars par mois. Ils peuvent aussi bénéficier d’un prêt bancaire sur trente ans avec un taux d’intérêt de 2,35 %. Il n’y aura pas d’intérêt sur les trois premières années. De plus, les acquéreurs auront également un “cashback” de 5 %.
Vous lancez Dreamville dans un contexte de stagnation du marché immobilier, d’où vient votre optimisme ?
Effectivement, le projet totalise environ 30 000 m2 de surface résidentielle. Cela représente plus de 50 millions de dollars de vente. Finalement, le secteur immobilier libanais évolue par cycle. C’est vrai que les années passées ont marqué un ralentissement. Mais nous nous attendons à une reprise du marché dès 2017. C’était le bon moment de lancer Dreamville.
Le Metn compte des centaines de chantiers résidentiels et d’immeubles avec des appartements invendus, le client a l’embarras du choix. Comment faire pour se démarquer ?
Oui, il y a beaucoup de projets en cours. Mais la demande existe. Les invendus sont des produits soit trop chers, soit avec des défauts avec des espaces perdus, des chambres trop petites et dans des immeuble de qualité médiocre. Les clients sont attentifs aux moindres détails. De notre côté, nous nous efforçons de répondre à la demande. De plus, nous sommes dans le secteur immobilier depuis 1959. Après chaque nouveau projet, nous gagnons en crédibilité.
Quels sont les taux de vente de vos autres projets immobiliers ?
Pour les projets Rosewood à Mansourié et La Pedra à Raboué, nous sommes respectivement à 84 et 75 %. Nous sommes satisfaits de ces chiffres surtout que le complexe Rosewood sera livré mi-2018. Pour le projet La Pedra, il nous reste cinq unités à la vente de 176 à 300 m2 à partir de 1 750 dollars par m2.