Le ministre de l’Energie a annoncé le lancement prochain d’un appel d’offre pour la production d’électricité à partir de l’énergie solaire, et invité les entreprises intéressées à manifester leur intérêt avant le 28 février.
Les contrats devraient être attribués avant la fin de l’année.
L’appel d’offre portera d'une part sur l’installation d’un parc photovoltaïque d’une capacité totale de 120 MW sur l’ensemble du territoire, avec 30 à 45 MW dans chaque mohazafat, et d'autre part sur la fourniture d’électricité à l’Electricité du Liban (EDL) sur une période de 20 ans.
Le montant des investissements pour les entreprises est estimé entre 80 et 120 millions de dollars, avec un prix de vente à l’EDL ne dépassant pas 0,10 dollars le kilowattheure.
Dans un pays qui compte près de 300 jours d’ensoleillement annuels, la capacité solaire ne représente actuellement que 22 MW, dont 20 MW de production décentralisée (installation de panneaux solaires par des particuliers ou des entreprises), et seulement 2 MW de champs solaires opérés par le secteur public.
Ce dernier prévoit de porter sa capacité à 30 MW à travers des investissements publics, et compte sur le secteur privé pour atteindre l’objectif de 150 MW de champs solaires fixé dans le cadre du plan Bassil.
Ce plan, approuvé par le gouvernement en 2010, vise à porter à 12 % la part des énergies renouvelables dans la consommation totale d’électricité du pays d’ici à 2020, contre 4 % à ce jour selon une étude du PNUD.
Cette hausse passe par le développement de l’énergie solaire, mais aussi éolienne et hydraulique.
Les contrats devraient être attribués avant la fin de l’année.
L’appel d’offre portera d'une part sur l’installation d’un parc photovoltaïque d’une capacité totale de 120 MW sur l’ensemble du territoire, avec 30 à 45 MW dans chaque mohazafat, et d'autre part sur la fourniture d’électricité à l’Electricité du Liban (EDL) sur une période de 20 ans.
Le montant des investissements pour les entreprises est estimé entre 80 et 120 millions de dollars, avec un prix de vente à l’EDL ne dépassant pas 0,10 dollars le kilowattheure.
Dans un pays qui compte près de 300 jours d’ensoleillement annuels, la capacité solaire ne représente actuellement que 22 MW, dont 20 MW de production décentralisée (installation de panneaux solaires par des particuliers ou des entreprises), et seulement 2 MW de champs solaires opérés par le secteur public.
Ce dernier prévoit de porter sa capacité à 30 MW à travers des investissements publics, et compte sur le secteur privé pour atteindre l’objectif de 150 MW de champs solaires fixé dans le cadre du plan Bassil.
Ce plan, approuvé par le gouvernement en 2010, vise à porter à 12 % la part des énergies renouvelables dans la consommation totale d’électricité du pays d’ici à 2020, contre 4 % à ce jour selon une étude du PNUD.
Cette hausse passe par le développement de l’énergie solaire, mais aussi éolienne et hydraulique.