Bank Audi a annoncé début février une hausse de 17 % de ses bénéfices nets consolidés au titre de 2016, à 470 millions de dollars. Un résultat bien meilleur que prévu, soutenu, assure la banque dans son communiqué, par les résultats de ses filiales turque et égyptienne, alors que le « contexte politique et économique [s’avère] difficile » dans ces pays.
La banque a également fait état d’une hausse de 5,2% de ses actifs consolidés, qui ont atteint 44,4 milliards de dollars fin décembre 2016.
Si l’on se réfère aux baisses des taux de change de la livre turque (-18%) et égyptienne (-58%) enregistrés en 2015, la hausse annuelle des actifs consolidés grimpe de 14,9 %, selon Bank Audi. En outre, « en prenant en considération les actifs sous gestion, les dépôts fiduciaires et les comptes titres, le total des actifs consolidés s'élèverait à 55,2 milliards de dollars ».
Quant aux dépôts, ils ont atteint 36 milliards de dollars fin décembre 2016 (+1%) et les crédits 17,3 milliards de dollars (-2,9%). Pour la banque, ces résultats « ont sans doutes été affectées par la dépréciation des livres égyptienne et turque, puisque lorsqu'on se base sur des taux de change constants (depuis décembre 2015), les dépôts auraient augmenté de 10 %, principalement grâce aux agences opérant au Liban ; tandis que les crédits auraient augmenté de 10 % grâce à la croissance des prêts accordés aux entités opérant au Liban, en Égypte et en Turquie ».
Par ailleurs, la banque indique avoir « réalisé en 2016 près d'un milliard de dollars de revenus exceptionnels (non récurrents) en participant aux opérations d'échange initiées par la Banque du liban. »
Bank Audi affirme néanmoins avoir utilisé « ces revenus exceptionnels pour doter des provisions collectives, de sorte que le total de ces dernières représente 2 % des risques de crédits pondérés, ainsi que d'autres provisions pour couvrir la dépréciation des écarts d'acquisition de certaines entités (...) pour un montant de 128 millions de dollars » et avoir consacré 205 millions de dollars pour éliminer « ses investissements en Syrie et au Soudan ».
Enfin, Les fonds propres consolidés de Bank Audi ont atteint 3,8 milliards de dollars fin 2016, et le ratio d'adéquation Bâle III a atteint lui 15,3 %.
La banque a également fait état d’une hausse de 5,2% de ses actifs consolidés, qui ont atteint 44,4 milliards de dollars fin décembre 2016.
Si l’on se réfère aux baisses des taux de change de la livre turque (-18%) et égyptienne (-58%) enregistrés en 2015, la hausse annuelle des actifs consolidés grimpe de 14,9 %, selon Bank Audi. En outre, « en prenant en considération les actifs sous gestion, les dépôts fiduciaires et les comptes titres, le total des actifs consolidés s'élèverait à 55,2 milliards de dollars ».
Quant aux dépôts, ils ont atteint 36 milliards de dollars fin décembre 2016 (+1%) et les crédits 17,3 milliards de dollars (-2,9%). Pour la banque, ces résultats « ont sans doutes été affectées par la dépréciation des livres égyptienne et turque, puisque lorsqu'on se base sur des taux de change constants (depuis décembre 2015), les dépôts auraient augmenté de 10 %, principalement grâce aux agences opérant au Liban ; tandis que les crédits auraient augmenté de 10 % grâce à la croissance des prêts accordés aux entités opérant au Liban, en Égypte et en Turquie ».
Par ailleurs, la banque indique avoir « réalisé en 2016 près d'un milliard de dollars de revenus exceptionnels (non récurrents) en participant aux opérations d'échange initiées par la Banque du liban. »
Bank Audi affirme néanmoins avoir utilisé « ces revenus exceptionnels pour doter des provisions collectives, de sorte que le total de ces dernières représente 2 % des risques de crédits pondérés, ainsi que d'autres provisions pour couvrir la dépréciation des écarts d'acquisition de certaines entités (...) pour un montant de 128 millions de dollars » et avoir consacré 205 millions de dollars pour éliminer « ses investissements en Syrie et au Soudan ».
Enfin, Les fonds propres consolidés de Bank Audi ont atteint 3,8 milliards de dollars fin 2016, et le ratio d'adéquation Bâle III a atteint lui 15,3 %.