Bodega Norton,
Bonarda 2012
Argentine
Appelé également corbeau (ou douce noire) en France, ce cépage rouge a longtemps été une variété de “volume” en Argentine. Depuis quelques années toutefois, les producteurs cherchent à faire de ce cépage le nouvel étendard de leur production. C’est plutôt réussi avec cette cuvée de chez Norton, dont les vignes sont plantées sur les hauteurs de Mendoza, dans la région de Luján de Cuyo, entre 850 et 1 100 mètres d’altitude. Fruité et gouleyant, ce 100 % bonarda offre un nez gourmand où domine la cerise noire, le cassis, voire des sensations de fruits des bois à peine cueillis. La bouche est friande, pleine de tanins soyeux. Un vin porté sur le fruité « où rien ne dépasse ». Un petit délice à prix alléchant.
E. Nicolas, 16 dollars.
Quinta da Boa Esperança,
Reserva Branco 2015
Portugal
Bouteille bourguignonne, étiquette épurée, ce blanc annonce déjà son caractère bien trempé ! Avec lui, on découvre le fernão pires et l’arinto, deux cépages emblématiques du vignoble portugais. L’arinto, qui ici domine (60 %), est considéré comme l’un des plus vieux cépages du pays. Il est connu pour sa fraîcheur (même dans des conditions climatiques chaudes). Le fernão, quant à lui, est utilisé souvent dans les assemblages de vinhoverde, des vins à boire jeunes, l’été venu. Élevé six mois en fûts de bois neuf, Reserva dégage un nez boisé, où dominent des notes florales citronnées de tilleul et de mimosa, voire une sensation de beurre. La bouche est assez étonnante par sa fraîcheur et sa délicatesse, on y débusque des saveurs de pamplemousse, une touche iodée salée se terminant par un léger côté boisé qui ne gâche rien au plaisir.
Vintage, 33 dollars.
Bonarda 2012
Argentine
Appelé également corbeau (ou douce noire) en France, ce cépage rouge a longtemps été une variété de “volume” en Argentine. Depuis quelques années toutefois, les producteurs cherchent à faire de ce cépage le nouvel étendard de leur production. C’est plutôt réussi avec cette cuvée de chez Norton, dont les vignes sont plantées sur les hauteurs de Mendoza, dans la région de Luján de Cuyo, entre 850 et 1 100 mètres d’altitude. Fruité et gouleyant, ce 100 % bonarda offre un nez gourmand où domine la cerise noire, le cassis, voire des sensations de fruits des bois à peine cueillis. La bouche est friande, pleine de tanins soyeux. Un vin porté sur le fruité « où rien ne dépasse ». Un petit délice à prix alléchant.
E. Nicolas, 16 dollars.
Quinta da Boa Esperança,
Reserva Branco 2015
Portugal
Bouteille bourguignonne, étiquette épurée, ce blanc annonce déjà son caractère bien trempé ! Avec lui, on découvre le fernão pires et l’arinto, deux cépages emblématiques du vignoble portugais. L’arinto, qui ici domine (60 %), est considéré comme l’un des plus vieux cépages du pays. Il est connu pour sa fraîcheur (même dans des conditions climatiques chaudes). Le fernão, quant à lui, est utilisé souvent dans les assemblages de vinhoverde, des vins à boire jeunes, l’été venu. Élevé six mois en fûts de bois neuf, Reserva dégage un nez boisé, où dominent des notes florales citronnées de tilleul et de mimosa, voire une sensation de beurre. La bouche est assez étonnante par sa fraîcheur et sa délicatesse, on y débusque des saveurs de pamplemousse, une touche iodée salée se terminant par un léger côté boisé qui ne gâche rien au plaisir.
Vintage, 33 dollars.