Imaginé par Ghassan Salamé, al-Noor est un peu plus qu’un simple luminaire. Sans doute faut-il parler d’une “installation lumineuse” tant son design se veut grandiose. Créée, pour la première fois, en 2015, lors d’une exposition à la villa Paradisode Beyrouth, al-Noor s’est depuis métamorphosée : ses voiles de métal ont ainsi agencé le magasin d’Iwan Maktabi à Sofil. Mais des sociétés ou des particuliers ont également craqué pour la souplesse et l’apparente légèreté de sa structure. « Selon l’espace dans lequel on l’implante, on modifie sa structure », explique Ghassan Salamé. Chaque feuille de métal demande deux semaines de tissage dans un atelier libanais. Pour l’œuvre présentée, elles sont pas moins de 16 à s’emboîter les unes dans les autres.
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