Par Jacques Mazier
Éditions Economica, 2016
316 p., 29,7 €, Librairie Antoine
Les crises sont inhérentes au capitalisme. Les petites perturbations en sont le mode de régulation normal, tandis que les grandes débâcles reflètent l’épuisement d’un régime de croissance et l’entrée dans une période de transition. L’analyse des grandes récessions passées permet d’identifier des mécanismes de sortie, afin de situer à nouveau les enjeux de la crise de l’économie financiarisée des années 2010. Plusieurs scénarios sont esquissés pour le futur, allant de la préservation de la domination de la finance à l’émergence d’une nouvelle donne, en passant par une crise financière systémique évitée jusqu’ici mais toujours possible. Pour l’Europe, les risques d’enlisement, sinon d’éclatement, sont bien réels.
Éditions Economica, 2016
316 p., 29,7 €, Librairie Antoine
Les crises sont inhérentes au capitalisme. Les petites perturbations en sont le mode de régulation normal, tandis que les grandes débâcles reflètent l’épuisement d’un régime de croissance et l’entrée dans une période de transition. L’analyse des grandes récessions passées permet d’identifier des mécanismes de sortie, afin de situer à nouveau les enjeux de la crise de l’économie financiarisée des années 2010. Plusieurs scénarios sont esquissés pour le futur, allant de la préservation de la domination de la finance à l’émergence d’une nouvelle donne, en passant par une crise financière systémique évitée jusqu’ici mais toujours possible. Pour l’Europe, les risques d’enlisement, sinon d’éclatement, sont bien réels.