Par Paul Jorion
Éditions Fayard, 2017
300 p., 20,9 €, Librairie Antoine
Une machine à concentrer la richesse, laissant une poignée de vainqueurs face à une armée de vaincus : voilà ce qu’est devenu le capitalisme. La révolution technologique en cours réduit le marché de l’emploi, la pensée de court terme règne en maître et la défense des privilèges bloque toute tentative de sauvetage. La finance et l’économie pouvaient être réformées au lendemain de l’effondrement de 2008, mais rien n’a été fait. Ce livre propose une analyse sans concessions et des pistes d’espoir pour l’avenir : la spéculation pourrait être interdite comme autrefois, l’État-Providence serait inscrit une fois pour toutes dans les institutions et un projet européen ressuscité pourrait être le fer de lance d’un véritable redressement.
Éditions Fayard, 2017
300 p., 20,9 €, Librairie Antoine
Une machine à concentrer la richesse, laissant une poignée de vainqueurs face à une armée de vaincus : voilà ce qu’est devenu le capitalisme. La révolution technologique en cours réduit le marché de l’emploi, la pensée de court terme règne en maître et la défense des privilèges bloque toute tentative de sauvetage. La finance et l’économie pouvaient être réformées au lendemain de l’effondrement de 2008, mais rien n’a été fait. Ce livre propose une analyse sans concessions et des pistes d’espoir pour l’avenir : la spéculation pourrait être interdite comme autrefois, l’État-Providence serait inscrit une fois pour toutes dans les institutions et un projet européen ressuscité pourrait être le fer de lance d’un véritable redressement.