Les actifs nets des banques alpha, les 14 banques du Liban dont les dépôts excèdent 2 milliards de dollars, ont augmenté de 7,5 % en glissement annuel, à 218 milliards de dollars à fin mars 2017, selon Bankdata Financial Services. Mais par rapport à la fin 2016, la hausse n'est que de 0,9 %. « Une croissance modeste » tant au niveau de l'activité des branches locales (+1 % sur le trimestre) que des branches à l'étranger (+0,4 %), que Bankdata impute à « un environnement opérationnel difficile ».
Les dépôts ont enregistré une hausse de 5,4 % en glissement annuel et de 0,8 % sur le trimestre. Les dépôts dans les branches locales ont crû de 1,2 %, tandis que ceux dans les filiales à l'étranger ont baissé de 1,3 % par rapport à fin 2016. « La hausse des dépôts dans les branches locales est principalement due à une croissance de 1,6 % des dépôts en devises étrangères tandis que ceux en livres ont légèrement augmenté de 0,4 % [par rapport à fin 2016], accroissant davantage la dollarisation des dépôts. » Une croissance des dépôts en devises que le cabinet lie à une « croissance à deux chiffres des flux financiers qui ont transformé le déficit de la balance des paiements en net excédent », note le rapport de Bankdata, sans faire explicitement référence aux opérations d'ingénierie financière menées l'an dernier par la Banque centrale. L'activité de prêts a, elle, connu une baisse de 0,7 % fin mars 2017 par rapport aux résultats affichés à la fin du trimestre précédent et le ratio de créances douteuses a stagné à 5,4 % par rapport à la même période.
Le cabinet indique que le niveau de liquidité des banques alpha reste élevé, puisque leur liquidité primaire nette représentait 37,1 % de leurs dépôts fin mars 2017, contre une moyenne régionale de 26,9 %. Au niveau de la rentabilité, les profits des banques alpha ont modestement augmenté de 1,7 % par rapport à la même période en 2016 (519 millions de dollars). Le rendement moyen sur actifs est passé de 1 % à 0,95 % en glissement annuel, selon le rapport. Le rendement moyen sur fonds propres est passé de 11,07 % à 10,14 % sur un an.
Les dépôts ont enregistré une hausse de 5,4 % en glissement annuel et de 0,8 % sur le trimestre. Les dépôts dans les branches locales ont crû de 1,2 %, tandis que ceux dans les filiales à l'étranger ont baissé de 1,3 % par rapport à fin 2016. « La hausse des dépôts dans les branches locales est principalement due à une croissance de 1,6 % des dépôts en devises étrangères tandis que ceux en livres ont légèrement augmenté de 0,4 % [par rapport à fin 2016], accroissant davantage la dollarisation des dépôts. » Une croissance des dépôts en devises que le cabinet lie à une « croissance à deux chiffres des flux financiers qui ont transformé le déficit de la balance des paiements en net excédent », note le rapport de Bankdata, sans faire explicitement référence aux opérations d'ingénierie financière menées l'an dernier par la Banque centrale. L'activité de prêts a, elle, connu une baisse de 0,7 % fin mars 2017 par rapport aux résultats affichés à la fin du trimestre précédent et le ratio de créances douteuses a stagné à 5,4 % par rapport à la même période.
Le cabinet indique que le niveau de liquidité des banques alpha reste élevé, puisque leur liquidité primaire nette représentait 37,1 % de leurs dépôts fin mars 2017, contre une moyenne régionale de 26,9 %. Au niveau de la rentabilité, les profits des banques alpha ont modestement augmenté de 1,7 % par rapport à la même période en 2016 (519 millions de dollars). Le rendement moyen sur actifs est passé de 1 % à 0,95 % en glissement annuel, selon le rapport. Le rendement moyen sur fonds propres est passé de 11,07 % à 10,14 % sur un an.