Vous voilà dans la nature ! Une bouffée d’air pur, la sensation d’enfin s’échapper loin du bruit et de la fureur… Et pourtant ! Partir à la conquête de l’arrière-pays libanais demande plus d’un tour dans son sac, tant les balades à pieds (à cheval ou à vélo) manquent de repères facilement identifiables. Bien sûr, il existe quelques randonnées, plus ou moins connues, à l’image du célèbre Lebanon Mountain Trail (LMT), fantasme de presque tous les grands marcheurs du Liban.
Le hic ? Pour attraper ces sentiers, il faut souvent avoir, à ses côtés, un vrai guide, en chair et en os, faute d’une signalisation appropriée. Cela n’a rien d’un reproche. Le LMT a été pensé pour cela : intégrer les marcheurs à leur environnement et permettre aux communautés locales de vivre de l’écotourisme. Toutefois, l’“amateurisme” de ces guides, voire leur “manque de qualités sportives” laisse parfois certains fous de nature et d’exercice sur leur faim.
Dieu merci, la technologie vient au secours de nos attentes dépitées. Les plates-formes Wikilok ou Cirkwi proposent des itinéraires géolocalisés, à suivre sur son smartphone. Ces app fonctionnent sur un modèle identique : on y partage ses balades grâce à la géolocalisation GPS, ce qui permet à ceux qui viendraient à suivre vos traces, de partir sur des sentiers peu ou mal balisés, en toute sécurité.
Pour le Liban, Wikilok, une start-up qui compte aujourd’hui 2,8 millions de membres dans le monde, principalement en Europe, tient la corde. Sur sa plate-forme, sont enregistrés près de 300 parcours (randonnées, mais aussi vélo, ski ou raquettes…). En plus de nouvelles destinations à découvrir, Wikilok présente un autre avantage : la découverte d’une communauté d’amoureux de nature et de plein air à rejoindre. Ne reste plus ensuite qu’à ajouter vos promenades secrètes sur la plate-forme pour inciter d’autres curieux à se laisser tenter par la marche et les grands espaces.
Le hic ? Pour attraper ces sentiers, il faut souvent avoir, à ses côtés, un vrai guide, en chair et en os, faute d’une signalisation appropriée. Cela n’a rien d’un reproche. Le LMT a été pensé pour cela : intégrer les marcheurs à leur environnement et permettre aux communautés locales de vivre de l’écotourisme. Toutefois, l’“amateurisme” de ces guides, voire leur “manque de qualités sportives” laisse parfois certains fous de nature et d’exercice sur leur faim.
Dieu merci, la technologie vient au secours de nos attentes dépitées. Les plates-formes Wikilok ou Cirkwi proposent des itinéraires géolocalisés, à suivre sur son smartphone. Ces app fonctionnent sur un modèle identique : on y partage ses balades grâce à la géolocalisation GPS, ce qui permet à ceux qui viendraient à suivre vos traces, de partir sur des sentiers peu ou mal balisés, en toute sécurité.
Pour le Liban, Wikilok, une start-up qui compte aujourd’hui 2,8 millions de membres dans le monde, principalement en Europe, tient la corde. Sur sa plate-forme, sont enregistrés près de 300 parcours (randonnées, mais aussi vélo, ski ou raquettes…). En plus de nouvelles destinations à découvrir, Wikilok présente un autre avantage : la découverte d’une communauté d’amoureux de nature et de plein air à rejoindre. Ne reste plus ensuite qu’à ajouter vos promenades secrètes sur la plate-forme pour inciter d’autres curieux à se laisser tenter par la marche et les grands espaces.