L’Autorité des marchés de capitaux (AMC) a interdit aux institutions financières au Liban d’émettre ou de commercialiser des cryptomonnaies pour leur compte ou celui de tiers. Elle a souligné plusieurs risques liés à leur utilisation, notamment en ce qui concerne le bitcoin. Les plates-formes d’échange existent en dehors de tout cadre légal et les cryptomonnaies ne sont pas émises par une banque centrale, ce qui les expose à une forte volatilité des prix, a souligné l’autorité. Elles peuvent être facilement utilisées pour des activités criminelles, telles que le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme, a-t-elle ajouté. L’AMC est un organisme créé en 2011 pour réguler les marchés financiers et encourager leur développement. Riad Salamé, gouverneur de la BDL, est le président de son conseil d’administration depuis 2012.
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