Les dépôts à terme – montants bloqués sur des comptes bancaires jusqu’à l’expiration d’une échéance fixée au préalable – se sont élevés à 167,3 milliards de dollars à fin 2018, en hausse de 3 % en un an, selon les chiffres de la Banque du Liban. Ces comptes ont en outre représenté 89,1 % du total des dépôts sur cette période – dans toutes les devises – contre 90 % en 2017.
Pas moins de 42,4 % de ce total, soit 79,5 milliards de dollars, sont constitués de dépôts effectués en devises par des particuliers résidant au Liban. Les dépôts en livres libanaises effectués par ces derniers suivent, avec 22,5 % du total, soit l’équivalent de 42,3 milliards de dollars, devant les dépôts des particuliers non-résidents (34,4 milliards de dollars, 18,3 %), entre autres.