Selon les modes de paiements, les prix de vente et les loyers affichent une disparité importante. Le marché est devenu un réel bazar avec ses incohérences, et des propriétaires qui appliquent leurs propres taux de conversion entre le « dollar libanais » et le « vrai » dollar.
Depuis que les banques imposent des restrictions drastiques sur les transferts et les retraits, le mode de paiement est devenu crucial. Désormais pour la moindre transaction, que ce soit une vente ou une location, il faut pouvoir s’entendre sur les modalités de paiement : en lollar, c’est à dire avec un chèque émis par une banque libanaise libellé en dollars mais dont le montant ne peut être que retiré en livres libanaises aux taux officiels ( 1500 et une partie à 3900) ; en dollars