Makram Sader Secrétaire général – Association des banques du Liban. « La mise en garde de l’autorité monétaire traduit davantage un risque au niveau macroéconomique pour le Liban qu’à celui des banques. Car une bulle immobilière aurait un impact négatif sur la croissance : elle provoque une inflation non économique et gèle des ressources qui pourraient être allouées vers des investissements plus productifs. Cependant, au niveau du système bancaire, le risque est limité, car leur encours de crédits à des projets résidentiels et commerciaux n’e
Réouverture des salles obscures, entre enthousiasme et incertitudes
Publié le 3 juin 2021 par Nada Maucourant Atallah
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