Déjà présentes sur le marché libanais, les voitures “propres” électriques ou hybrides vont bénéficier d’une baisse des droits de douane sur les importations dès 2019.
Au Liban, plusieurs importateurs prennent le virage de l’hybride, voire de l’électrique. Premier à y avoir cru ? BUMC. Le concessionnaire propose depuis 2007 une berline, la Toyota Prius, et sa cousine citadine, la Prius C. D’autres ont suivi plus récemment : Bassoul-Heneiné débute la commercialisation de la BMW séries 7 et 5, et annonce l’arrivée imminente de Zoé, la petite Renault électrique ; T. Gargour s’affiche avec la Mercedes GLC 350e… Devrait également débarquer l’Audi e-tron, la nouvelle e-Golf de Volkswagen ou la citadine Chevrolet Bolt…
Mais que diantre se passe-t-il ? Nos concessionnaires seraient-ils tous pris par la folie des “technologies disruptives” auxquelles s’apparentent l’hybride ou l’électrique ? La réalité est plus prosaïque. Les importateurs libanais suivent les marques qu’ils représentent. « L’électrif