G spa est le premier spa au Moyen-Orient à obtenir le label qualité de l’association à but non lucratif Spa-A qui regroupe des professionnels de l’industrie du spa et du bien-être. Celle-ci accorde ce label annuel très prisé en se basant sur divers critères liés à l’hygiène et la sécurité des lieux, la formation et le professionnalisme des employés, la qualité du service clientèle et l’attention portée à l’ergonomie des espaces. Selon Roula Ghanem, copropriétaire du spa avec son mari le Dr Karim Ghanem et gérante du lieu, « le label récompense notre savoir-faire et nos services innovants de remise en forme et de bien-être ». Situé au cœur de Beyrouth, ce “spa de ville” comprend aussi un département de médecine esthétique pour les traitements antiâge et cutanés, une salle de sport, la balnéothérapie, un hammam, une piscine, un jacuzzi et un salon de coiffure. « Le fait d’opérer sous un label “spa” nous permet d’élargir notre gamme de soins et d’offrir des thérapies plus complexes », explique-t-elle. Les activités sont fournies par une équipe spécialisée de kinésithérapeutes, coaches sportifs, esthéticiennes, coiffeurs-stylistes et dermatologues. En réponse à la demande croissante de sa clientèle, l’espace fitness a été élargi et inauguré en décembre 2012. « Les efforts de G spa en matière de formation de son personnel aux dernières tendances de l’industrie du bien-être ont porté leurs fruits, poursuit Ghanem, puisque depuis 2009 l’établissement a délivré plus de 282 000 soins, 25 500 cours privés de gym et compte plus de 400 membres. » Il emploie 84 personnes. L’investissement à ce jour avoisine les 3 millions de dollars. « Un spa requiert des réinvestissements annuels et comporte de lourds coûts de maintenance. Comme nous sommes un spa de jour indépendant, non soutenu par un hôtel, comme c’est souvent le cas, nous réinjectons nos bénéfices dans l’activité, d’où un amortissement prévu en 10 ans. »
Au départ, Roula Ghanem se prédestinait au cinéma. Diplômée de l’ALBA en 2000, elle poursuit une carrière dans l’audiovisuel comme productrice pendant huit ans avant de se consacrer à l’industrie des spas qui l’a toujours séduite. Elle est encouragée par son mari Karim Ghanem, pharmacien et propriétaire de la pharmacie Le Gabriel, qui avait ouvert en 2005 l’Institut Le Gabriel offrant des traitements innovants contenant six cabines de soins. Le succès de l’institut le pousse à agrandir les locaux et à ouvrir le G spa, un espace de 2 000 m2 en septembre 2008. Selon Roula Ghanem, qui a suivi des cours de formation et des séminaires internationaux consacrés à la gestion de spa avant de prendre les commandes de G spa, « le secteur est encore sous-exploité au Liban, mais il reste bridé par les difficultés du marché, notamment l’incertitude politique et économique, et la difficulté de recruter et de fidéliser un personnel de qualité ».
Au départ, Roula Ghanem se prédestinait au cinéma. Diplômée de l’ALBA en 2000, elle poursuit une carrière dans l’audiovisuel comme productrice pendant huit ans avant de se consacrer à l’industrie des spas qui l’a toujours séduite. Elle est encouragée par son mari Karim Ghanem, pharmacien et propriétaire de la pharmacie Le Gabriel, qui avait ouvert en 2005 l’Institut Le Gabriel offrant des traitements innovants contenant six cabines de soins. Le succès de l’institut le pousse à agrandir les locaux et à ouvrir le G spa, un espace de 2 000 m2 en septembre 2008. Selon Roula Ghanem, qui a suivi des cours de formation et des séminaires internationaux consacrés à la gestion de spa avant de prendre les commandes de G spa, « le secteur est encore sous-exploité au Liban, mais il reste bridé par les difficultés du marché, notamment l’incertitude politique et économique, et la difficulté de recruter et de fidéliser un personnel de qualité ».