Chérine sait où elle partira pour ses vacances d’été : c’est New York pendant au moins un mois. Chérine serait-elle ultranantie ? Pas du tout ! Elle est simplement l’une des “aficionistas” de l’échange d’appartements. À New York, elle vivra dans le studio d’un individu qu’elle ne connaît ni d’Eve ni d’Adam, tandis que celui-ci viendra squatter son deux pièces beyrouthin. « Il s’agit d’un échange, sans aucune contrepartie financière. Nous sommes juste deux particuliers qui nous faisons confiance. » Le plus de ce type de logement ? Sans coup férir : voyager à moindres frais « autrement les États-Unis sont hors de ma portée, assure cette mère de deux enfants. Mais avec aussi une clef pour mieux entrer en contact avec la culture américaine : habiter chez quelqu’un de réel et pas à l’hôtel, cela donne un autre goût à ses vacances ». La tendance n’est pas nouvelle : le magazine du Lonely Planet évoque quelque
250 000 maisons échangées chaque année en moyenne désormais. Apparu dans les années 1950 aux États-Unis, ce mode de vacances s’est ouvert au grand public à la fin des années 1990 grâce à Internet et l’émergence des sites de mise en contact, qui sont aussi un garant contre les escrocs. Car laisser un inconnu seul dans sa maison enchante rarement de prime abord. « La première fois, j’ai beaucoup discuté avec celui avec qui je faisais l’échange. » Avant de réaliser l’échange, les deux parties apprennent ainsi à se connaître par e-mail ou par téléphone. « C’est normal, on a peur pour ses affaires, peur de l’intrusion et de ce qu’on va trouver en arrivant. Mais après, on y prend goût. » Pour les plus récalcitrants, les sites d’échanges offrent des assurances.
trocmaison.com
www.intervac.fr
homeforexchange.com
250 000 maisons échangées chaque année en moyenne désormais. Apparu dans les années 1950 aux États-Unis, ce mode de vacances s’est ouvert au grand public à la fin des années 1990 grâce à Internet et l’émergence des sites de mise en contact, qui sont aussi un garant contre les escrocs. Car laisser un inconnu seul dans sa maison enchante rarement de prime abord. « La première fois, j’ai beaucoup discuté avec celui avec qui je faisais l’échange. » Avant de réaliser l’échange, les deux parties apprennent ainsi à se connaître par e-mail ou par téléphone. « C’est normal, on a peur pour ses affaires, peur de l’intrusion et de ce qu’on va trouver en arrivant. Mais après, on y prend goût. » Pour les plus récalcitrants, les sites d’échanges offrent des assurances.
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