Un article du Dossier
Zahlé : à la recherche d'un nouveau souffle
Ksara
Ksara, à deux kilomètres à l’ouest du centre-ville de Zahlé, est considérée comme partie intégrante de la municipalité de Zahlé. La région, qui se situe dans la continuité du quartier de Haouch el-Oumara, mélange immeubles résidentiels et villas. C’est la zone de Zahlé qui compte le plus de projets en cours de construction : une vingtaine au total. La plupart des nouveaux immeubles s’alignent le long de l’artère principale entre Zahlé et Saadnayel, mais aussi dans les hauteurs de Ksara, à Dhour Ksara, qui offre des vues dégagées sur la plaine de la Békaa. Ksara a connu plusieurs phases successives de croissance immobilière : à la fin de la guerre civile, puis au début des années 2000, et plus récemment depuis 2008. « Plus de 1 500 appartements ont été construits pendant les dix dernières années », estime le promoteur Melhem Osta. Le développement touristique des caves de Ksara a beaucoup contribué à améliorer l’image de la région, même si les infrastructures ne sont pas encore à la hauteur. « Ksara est devenue la banlieue de prestige de Zahlé, elle a vocation à devenir un autre centre-ville dans les années à venir », affirme le promoteur Tony Moussallem. Les clients de Ksara sont à la fois des Libanais expatriés, mais aussi une nouvelle génération de résidents, qui ne parvient plus à trouver des appartements dans le centre de Zahlé, en raison de la saturation de l’offre résidentielle. Les prix au mètre carré sont parmi les plus élevés de Zahlé, en moyenne 1 200 dollars le mètre carré, même si les premiers prix demandés commencent à 1 000 dollars. Environ 170 unités sont actuellement mises en vente, qui pour l’essentiel seront livrées au cours de l’année 2013. Il existe donc de nombreuses opportunités pour les budgets situés dans la fourchette entre 150 000 et 250 000 dollars.
Dhour Zahlé
La région de Dhour Zahlé se situe à environ trois kilomètres au sud-ouest de Zahlé, et s’étend dans la montagne surplombant Zahlé entre l’imposante statue de la Vierge et le village de Hazerta (sur la route de Bickfaya). Jusqu’à il y a encore quelques années, Dhour Zahlé était essentiellement une région de vignes et de villas. « Depuis 2010, les projets résidentiels se sont multipliés dans la région, et le prix des terrains a presque doublé, passant en moyenne de 150 à 250 dollars le mètre carré », explique Ghassan Maydaa, promoteur à Dhour Zahlé. La plupart des nouveaux projets se situent le long de la route principale qui monte vers l’école de la Sainte-Famille : plus d’une dizaine sont en cours de construction, avec près de 50 unités achevées en 2013. La région n’est pas équipée en infrastructures, mais dispose encore de beaucoup de potentiel. « Il y a quelques années, on n’aurait jamais imaginé construire un projet dans cette région la plus éloignée de Zahlé, mais le concept des petites maisons de campagne près des vignes rencontre de plus en plus de succès », explique le promoteur Ghassan Abboud, qui envisage d’investir dans la région. Les surfaces proposées sont plus grandes qu’ailleurs – entre 150 et 250 m² –, mais le prix moyen des unités est plus abordable, en moyenne à 1 000 dollars le mètre carré.
Haouch el-Oumara
Le quartier de Haouch el-Oumara, situé entre le rond-point Manara et l’entrée de Ksara, est le plus huppé de Zahlé, avec des prix affichés en moyenne à 1 250 dollars le mètre carré ; aucun produit n’est disponible à moins de 1 200 dollars. Haouch el-Oumara, dont le point de repère principal est le cinéma Stargate, est un quartier mixant enseignes commerciales et immeubles résidentiels. Beaucoup d’immeubles résidentiels proposent d’ailleurs des locaux commerciaux au rez-de chaussée. Les taux de vente dans la région sont assez faibles, avec près de 80 % de disponibilités, soit une soixantaine d’unités mises sur le marché, éparpillées dans huit projets. Le prix du foncier dans le quartier varie entre 450 et 800 dollars le mètre carré, selon Joseph Charro, propriétaire de l’agence immobilière Terra Casa. La zone qui se trouve à proximité de l’autoroute semble avoir le plus de potentiel de développement.
Ksara, à deux kilomètres à l’ouest du centre-ville de Zahlé, est considérée comme partie intégrante de la municipalité de Zahlé. La région, qui se situe dans la continuité du quartier de Haouch el-Oumara, mélange immeubles résidentiels et villas. C’est la zone de Zahlé qui compte le plus de projets en cours de construction : une vingtaine au total. La plupart des nouveaux immeubles s’alignent le long de l’artère principale entre Zahlé et Saadnayel, mais aussi dans les hauteurs de Ksara, à Dhour Ksara, qui offre des vues dégagées sur la plaine de la Békaa. Ksara a connu plusieurs phases successives de croissance immobilière : à la fin de la guerre civile, puis au début des années 2000, et plus récemment depuis 2008. « Plus de 1 500 appartements ont été construits pendant les dix dernières années », estime le promoteur Melhem Osta. Le développement touristique des caves de Ksara a beaucoup contribué à améliorer l’image de la région, même si les infrastructures ne sont pas encore à la hauteur. « Ksara est devenue la banlieue de prestige de Zahlé, elle a vocation à devenir un autre centre-ville dans les années à venir », affirme le promoteur Tony Moussallem. Les clients de Ksara sont à la fois des Libanais expatriés, mais aussi une nouvelle génération de résidents, qui ne parvient plus à trouver des appartements dans le centre de Zahlé, en raison de la saturation de l’offre résidentielle. Les prix au mètre carré sont parmi les plus élevés de Zahlé, en moyenne 1 200 dollars le mètre carré, même si les premiers prix demandés commencent à 1 000 dollars. Environ 170 unités sont actuellement mises en vente, qui pour l’essentiel seront livrées au cours de l’année 2013. Il existe donc de nombreuses opportunités pour les budgets situés dans la fourchette entre 150 000 et 250 000 dollars.
Dhour Zahlé
La région de Dhour Zahlé se situe à environ trois kilomètres au sud-ouest de Zahlé, et s’étend dans la montagne surplombant Zahlé entre l’imposante statue de la Vierge et le village de Hazerta (sur la route de Bickfaya). Jusqu’à il y a encore quelques années, Dhour Zahlé était essentiellement une région de vignes et de villas. « Depuis 2010, les projets résidentiels se sont multipliés dans la région, et le prix des terrains a presque doublé, passant en moyenne de 150 à 250 dollars le mètre carré », explique Ghassan Maydaa, promoteur à Dhour Zahlé. La plupart des nouveaux projets se situent le long de la route principale qui monte vers l’école de la Sainte-Famille : plus d’une dizaine sont en cours de construction, avec près de 50 unités achevées en 2013. La région n’est pas équipée en infrastructures, mais dispose encore de beaucoup de potentiel. « Il y a quelques années, on n’aurait jamais imaginé construire un projet dans cette région la plus éloignée de Zahlé, mais le concept des petites maisons de campagne près des vignes rencontre de plus en plus de succès », explique le promoteur Ghassan Abboud, qui envisage d’investir dans la région. Les surfaces proposées sont plus grandes qu’ailleurs – entre 150 et 250 m² –, mais le prix moyen des unités est plus abordable, en moyenne à 1 000 dollars le mètre carré.
Haouch el-Oumara
Le quartier de Haouch el-Oumara, situé entre le rond-point Manara et l’entrée de Ksara, est le plus huppé de Zahlé, avec des prix affichés en moyenne à 1 250 dollars le mètre carré ; aucun produit n’est disponible à moins de 1 200 dollars. Haouch el-Oumara, dont le point de repère principal est le cinéma Stargate, est un quartier mixant enseignes commerciales et immeubles résidentiels. Beaucoup d’immeubles résidentiels proposent d’ailleurs des locaux commerciaux au rez-de chaussée. Les taux de vente dans la région sont assez faibles, avec près de 80 % de disponibilités, soit une soixantaine d’unités mises sur le marché, éparpillées dans huit projets. Le prix du foncier dans le quartier varie entre 450 et 800 dollars le mètre carré, selon Joseph Charro, propriétaire de l’agence immobilière Terra Casa. La zone qui se trouve à proximité de l’autoroute semble avoir le plus de potentiel de développement.