Un article du Dossier
Où acheter à Beyrouth en 2013 ?
Le Commence du Levant, en collaboration avec Ramco Real Estate Advisers, a répertorié dans 42 quartiers de Beyrouth les prix du mètre carré des appartements neufs de plus de 150 rues.
Après de nombreuses années de flambée, le marché résidentiel à Beyrouth traverse depuis 2011 une phase d’accalmie dont la fin semble encore loin.
Dans un contexte économique morose, les ménages, échaudés par l’aggravation de la situation sécuritaire, jouent la prudence et guettent le moindre essoufflement des prix pour se positionner. L’évolution des prix est devenue une obsession pour les acheteurs. Beaucoup attendent une baisse avant de concrétiser leur projet. Mais celle-ci peine à se matérialiser sauf dans des cas très ponctuels.
Actuellement, les prix résistent mais la pression ne cesse de s’accentuer sur les propriétaires et les promoteurs. Certains campent sur leur position pendant que d’autres veulent profiter du contexte pour bénéficier de belles ristournes. Aucun professionnel ne reconnaît ouvertement un réajustement, mais les négociations sont âpres.
Les biens qui se vendent aujourd'hui sont négociés au plus juste prix. Parallèlement, les vendeurs qui s'accrochent à des valeurs incohérentes ne vendent pas.
En moyenne, les prix des appartements neufs affichent une quasi-stabilité. Mais les réajustements apparaissent ici et là selon la situation géographique et la qualité du logement.
Le prix moyen d’un premier étage dans la capitale se situe entre 3 250 et 3 500 dollars le m2.
Le marché du haut de gamme est naturellement affecté par la dégradation sécuritaire locale. Si le secteur n’est pas à l’arrêt, les produits au centre-ville (plus de 6 000 dollars le m2), sur le front de mer (au delà de 7 500 dollars), à Sursock ou à Verdun (à partir de 5 500 dollars le m2) s’écoulent plus lentement qu’auparavant.
La hiérarchie des secteurs semble immuable. Un appartement avec vue sur mer à Jal el-Bahr est deux fois plus cher qu’un bien situé à Hamra ou à Furn el-Hayek. Avec des grilles de prix qui démarrent entre 4 000 et 4 500 dollars le m2, Ras Beyrouth et le carré d’or d’Achrafié affichent des tarifs similaires à 2012.
Les plus petits prix (inférieurs à 3 000 dollars le m2) sont à chercher dans certains quartiers de la capitale comme Hay Sirian, Nazareth, Saydé ou Fassouh. Toutefois, la qualité des produits laisse souvent à désirer.
Dans un contexte économique morose, les ménages, échaudés par l’aggravation de la situation sécuritaire, jouent la prudence et guettent le moindre essoufflement des prix pour se positionner. L’évolution des prix est devenue une obsession pour les acheteurs. Beaucoup attendent une baisse avant de concrétiser leur projet. Mais celle-ci peine à se matérialiser sauf dans des cas très ponctuels.
Actuellement, les prix résistent mais la pression ne cesse de s’accentuer sur les propriétaires et les promoteurs. Certains campent sur leur position pendant que d’autres veulent profiter du contexte pour bénéficier de belles ristournes. Aucun professionnel ne reconnaît ouvertement un réajustement, mais les négociations sont âpres.
Les biens qui se vendent aujourd'hui sont négociés au plus juste prix. Parallèlement, les vendeurs qui s'accrochent à des valeurs incohérentes ne vendent pas.
En moyenne, les prix des appartements neufs affichent une quasi-stabilité. Mais les réajustements apparaissent ici et là selon la situation géographique et la qualité du logement.
Le prix moyen d’un premier étage dans la capitale se situe entre 3 250 et 3 500 dollars le m2.
Le marché du haut de gamme est naturellement affecté par la dégradation sécuritaire locale. Si le secteur n’est pas à l’arrêt, les produits au centre-ville (plus de 6 000 dollars le m2), sur le front de mer (au delà de 7 500 dollars), à Sursock ou à Verdun (à partir de 5 500 dollars le m2) s’écoulent plus lentement qu’auparavant.
La hiérarchie des secteurs semble immuable. Un appartement avec vue sur mer à Jal el-Bahr est deux fois plus cher qu’un bien situé à Hamra ou à Furn el-Hayek. Avec des grilles de prix qui démarrent entre 4 000 et 4 500 dollars le m2, Ras Beyrouth et le carré d’or d’Achrafié affichent des tarifs similaires à 2012.
Les plus petits prix (inférieurs à 3 000 dollars le m2) sont à chercher dans certains quartiers de la capitale comme Hay Sirian, Nazareth, Saydé ou Fassouh. Toutefois, la qualité des produits laisse souvent à désirer.
Méthodologie Les prix des appartements résultent d’une enquête réalisée entre juin et juillet 2013. Celle-ci se fonde sur les prix communiqués par les promoteurs des projets résidentiels actuellement en construction. Les chiffres mentionnés dans les tableaux pour chaque secteur géographique indiquent la valeur du mètre carré au premier étage. Il s’agit de nos estimations sur la base des prix affichés. |
dans ce Dossier