Le café-restaurant Batchig by Mayrig (dont la traduction littérale est “baiser de la grand-mère”) est la version « plus jeune et grand public » du restaurant arménien Mayrig présent à Gemmayzé depuis dix ans. Le lieu a ouvert en août à Dbayé et sert des recettes arméniennes et régionales traditionnelles, ainsi que certains plats-signature de Mayrig tels que le “manté” et le “soubeureg”. Outre ces “classiques”, le restaurant propose des nouveautés parmi lesquelles des pizzas “revisitées à l’arménienne” au soujouk et à la viande (lahmé beajine) préparées dans un four au charbon de bois, et un bar à salades avec des spécialités orientales. Côté boissons, la spécialité de Batchig est la limonade frappée.
« Des femmes, toutes issues de la diaspora arménienne – du Liban, de Syrie, d’Égypte ou de Grèce –, officient en cuisine ; elles ont rapporté des recettes de leur région d’origine qu’elles concoctent avec amour », expliquent Serge Maacaron et Aline Kamakian, propriétaires de Batchig et Mayrig. Le lieu s’étend sur 900 m2 en salle et 400 m2 pour le jardin où les clients peuvent fumer des narguilés. Il peut accueillir jusqu’à 250 personnes tous les jours de midi à minuit pour un ticket moyen de 35 dollars.
« Batchig a été conçu pour être franchisé ; le concept s’adapte aux centres commerciaux et nous discutons déjà de l’exporter aux Émirats arabes unis et aux États-Unis d’ici à deux ans. » Les propriétaires ont investi 2 millions de dollars prévus d’être amortis en quatre ans.
« Des femmes, toutes issues de la diaspora arménienne – du Liban, de Syrie, d’Égypte ou de Grèce –, officient en cuisine ; elles ont rapporté des recettes de leur région d’origine qu’elles concoctent avec amour », expliquent Serge Maacaron et Aline Kamakian, propriétaires de Batchig et Mayrig. Le lieu s’étend sur 900 m2 en salle et 400 m2 pour le jardin où les clients peuvent fumer des narguilés. Il peut accueillir jusqu’à 250 personnes tous les jours de midi à minuit pour un ticket moyen de 35 dollars.
« Batchig a été conçu pour être franchisé ; le concept s’adapte aux centres commerciaux et nous discutons déjà de l’exporter aux Émirats arabes unis et aux États-Unis d’ici à deux ans. » Les propriétaires ont investi 2 millions de dollars prévus d’être amortis en quatre ans.