Alice Eddé propose des mois d’octobre à mai des programmes de bien-être dans le complexe balnéaire d’Eddé Sands. Étudiés de manière à compléter l’offre du spa, ces traitements “detox” comprennent des soins variés et repas adaptés, et sont proposés en demi-journées, journées ou semaines. « Les Libanais voyagent pour faire des cures, alors que nous avons tout ce qu’il faut ici : le personnel qualifié, l’infrastructure, la plage de sable, les espaces verts et le climat, explique Alice Eddé. Nous cherchons à garder cette clientèle au Liban. ». Le service cible également « les étrangers en quête de soleil en hiver ». Les forfaits démarrent à 120 dollars par personne pour un week-end jusqu’à 244 dollars pour une “retraite antistress” comprenant une nuit d’hôtel. Quant aux “semaines detox”, elles sont organisées deux fois par an à partir de
2 100 dollars par personne avec le concours d’experts venus de l’étranger – homéopathe, ostéopathe et naturopathe. Des programmes sont également proposés aux entreprises. Quant au menu, il est conçu par la chef péruvienne Brisa Deneumostier
« spécialiste en cuisine santé qui a créé des plats adaptés aux goûts des Libanais et formé nos chefs ». Il est servi quotidiennement aux restaurants La Pêche du Jour à Eddé Sands et éCafé à Achrafié. Alice Eddé a lancé le programme en 2009, mais « les Libanais n’étaient pas prêts ; aujourd’hui, avec le stress lié à l’insécurité chronique du pays, ils ont pris conscience de l’importance du bien-être ».
L’activité “Wellness” – comprenant l’agrandissement du spa et la construction d’une piscine chauffée – a requis un investissement de 3 millions de dollars et généré depuis son introduction en 2009 un chiffre d’affaires du même montant. Ce service, qui emploie entre 15 et 20 personnes selon la saison « toutes originaires de Byblos ou de sa région », contribue également à remplir l’hôtel d’Eddé Sands hors saison. Ainsi, le taux d’occupation pour l’année 2013 a atteint 25 % en saison basse et 95 % d’avril à septembre.
Les programmes ont été tous conçus par Alice Eddé : « Passionnée par le domaine du bien-être », qui a acquis une grande expérience en la matière grâce à de nombreux voyages à travers des centres aux États-Unis, en Europe et en Inde où elle découvre les traitements ayurvédiques. Elle est la première à les introduire au Liban.
Américaine d’origine, Alice a rencontré Roger Eddé en 1973 lors d’un voyage au Liban. Mariés deux ans plus tard, la guerre les contraint à quitter le pays. Ils rentrent en 1997 avec la volonté « d’aider la région de Byblos » et développent Eddé Sands, un projet de 100 000 m2. Ils ont aujourd’hui à leur actif sept enseignes de restauration – six à Byblos et une à Achrafié. Au printemps, elle lancera la première enseigne portant son nom, une boutique d’articles autour du thème du jardin. « D’ordinaire discrète, j’ose enfin me mettre en avant. »
2 100 dollars par personne avec le concours d’experts venus de l’étranger – homéopathe, ostéopathe et naturopathe. Des programmes sont également proposés aux entreprises. Quant au menu, il est conçu par la chef péruvienne Brisa Deneumostier
« spécialiste en cuisine santé qui a créé des plats adaptés aux goûts des Libanais et formé nos chefs ». Il est servi quotidiennement aux restaurants La Pêche du Jour à Eddé Sands et éCafé à Achrafié. Alice Eddé a lancé le programme en 2009, mais « les Libanais n’étaient pas prêts ; aujourd’hui, avec le stress lié à l’insécurité chronique du pays, ils ont pris conscience de l’importance du bien-être ».
L’activité “Wellness” – comprenant l’agrandissement du spa et la construction d’une piscine chauffée – a requis un investissement de 3 millions de dollars et généré depuis son introduction en 2009 un chiffre d’affaires du même montant. Ce service, qui emploie entre 15 et 20 personnes selon la saison « toutes originaires de Byblos ou de sa région », contribue également à remplir l’hôtel d’Eddé Sands hors saison. Ainsi, le taux d’occupation pour l’année 2013 a atteint 25 % en saison basse et 95 % d’avril à septembre.
Les programmes ont été tous conçus par Alice Eddé : « Passionnée par le domaine du bien-être », qui a acquis une grande expérience en la matière grâce à de nombreux voyages à travers des centres aux États-Unis, en Europe et en Inde où elle découvre les traitements ayurvédiques. Elle est la première à les introduire au Liban.
Américaine d’origine, Alice a rencontré Roger Eddé en 1973 lors d’un voyage au Liban. Mariés deux ans plus tard, la guerre les contraint à quitter le pays. Ils rentrent en 1997 avec la volonté « d’aider la région de Byblos » et développent Eddé Sands, un projet de 100 000 m2. Ils ont aujourd’hui à leur actif sept enseignes de restauration – six à Byblos et une à Achrafié. Au printemps, elle lancera la première enseigne portant son nom, une boutique d’articles autour du thème du jardin. « D’ordinaire discrète, j’ose enfin me mettre en avant. »