Depuis le 22 octobre dernier, Tony Ramy est le président du Syndicat des restaurants, cafés, night-clubs et pâtisseries du Liban. Il en était le secrétaire général depuis 2009, parallèlement à ses activités professionnelles dans le secteur de la restauration : il est copropriétaire et gérant du groupe Al Sultan Brahim, de Al Diwan Beirut, de la boîte de nuit B018, du café-restaurant Al Falamanki, du bar Trainstation et du restaurant Mama Pita aux États-Unis, des projets employant plus de 1 000 personnes. « Mon expérience dans ce secteur et ma connaissance du terrain me permettent de mieux comprendre les besoins des employés et les défis du marché. »
Le programme du syndicat pour les quatre prochaines années comprend entre autres la modernisation des lois de l’industrie instaurées dans les années 60 et 70 en les adaptant aux besoins actuels du marché, la protection des intérêts des investisseurs et propriétaires d’enseignes F&B, la création d’un réseau solide comprenant un maximum d’établissements emblématiques dans le pays, l’organisation de formations sur la sécurité alimentaire et le contrôle qualité et d’événements pour promouvoir la gastronomie libanaise, ainsi que l’encouragement d’investissements dans le secteur F&B dans toutes les régions du Liban. Le programme comprend également la professionnalisation de la main-d’œuvre et l’application des lois et règlements de qualité à tous les niveaux. Le syndicat servira aussi d’instrument de lobbying auprès des divers ministères concernés – Tourisme, Travail, Finances ainsi que l’Économie et enfin la Caisse nationale de Sécurité sociale. Enfin, le syndicat fera en sorte à devenir une source nationale fiable de données et publiera régulièrement des articles et statistiques relatifs aux activités dans le secteur. Pour Ramy, « l’union fait la force » et malgré une situation politique et économique peu favorable au secteur, il croit au succès de sa mission qui « repose principalement sur une équipe solide et dynamique composée de jeunes professionnels influents – parmi lesquels deux femmes, une première dans l’histoire du syndicat ». Les membres actuels sont tous des restaurateurs : Khaled Nazha (Blue Note), vice-président ; Ziad Kamel (Couqley), secrétaire général ; Aref Saadeh (Shogun Lounge), trésorier ; ainsi que Mireille Hayek (Em Sherif, La Parilla), Mustafa el-Samad (La Plaka), Adham Beainy (partenaire au Sky Bar Beirut, B018 et Al Falamanki), Maya Bekhazi Noun (The Beirut Cellar), Walid Hayek (Dany’s, Main Street), Tony Habre (Iris, White...), Donald Batal (Classic Burger Joint) et Walid Baroudi (Peninsula).
Tony Ramy a “baigné” dans la restauration depuis son enfance avec, pour “terrain de jeu”, le restaurant Al Sultan Brahim fondé en 1961 par sa famille. Il y effectue des stages dans tous les départements « de la plonge au service en salle ». Diplômé de l’USJ en gestion d’entreprises et marketing en 1995, il rejoint l’affaire familiale et devient l’un des gérants des groupes Al Sultan Brahim et Al Diwan Beirut qu’il développe aussi bien au Liban qu’au Moyen-Orient. « Aujourd’hui je me concentre sur ma mission : faire du Liban un pays de référence en termes de F&B dans la région. »
Le programme du syndicat pour les quatre prochaines années comprend entre autres la modernisation des lois de l’industrie instaurées dans les années 60 et 70 en les adaptant aux besoins actuels du marché, la protection des intérêts des investisseurs et propriétaires d’enseignes F&B, la création d’un réseau solide comprenant un maximum d’établissements emblématiques dans le pays, l’organisation de formations sur la sécurité alimentaire et le contrôle qualité et d’événements pour promouvoir la gastronomie libanaise, ainsi que l’encouragement d’investissements dans le secteur F&B dans toutes les régions du Liban. Le programme comprend également la professionnalisation de la main-d’œuvre et l’application des lois et règlements de qualité à tous les niveaux. Le syndicat servira aussi d’instrument de lobbying auprès des divers ministères concernés – Tourisme, Travail, Finances ainsi que l’Économie et enfin la Caisse nationale de Sécurité sociale. Enfin, le syndicat fera en sorte à devenir une source nationale fiable de données et publiera régulièrement des articles et statistiques relatifs aux activités dans le secteur. Pour Ramy, « l’union fait la force » et malgré une situation politique et économique peu favorable au secteur, il croit au succès de sa mission qui « repose principalement sur une équipe solide et dynamique composée de jeunes professionnels influents – parmi lesquels deux femmes, une première dans l’histoire du syndicat ». Les membres actuels sont tous des restaurateurs : Khaled Nazha (Blue Note), vice-président ; Ziad Kamel (Couqley), secrétaire général ; Aref Saadeh (Shogun Lounge), trésorier ; ainsi que Mireille Hayek (Em Sherif, La Parilla), Mustafa el-Samad (La Plaka), Adham Beainy (partenaire au Sky Bar Beirut, B018 et Al Falamanki), Maya Bekhazi Noun (The Beirut Cellar), Walid Hayek (Dany’s, Main Street), Tony Habre (Iris, White...), Donald Batal (Classic Burger Joint) et Walid Baroudi (Peninsula).
Tony Ramy a “baigné” dans la restauration depuis son enfance avec, pour “terrain de jeu”, le restaurant Al Sultan Brahim fondé en 1961 par sa famille. Il y effectue des stages dans tous les départements « de la plonge au service en salle ». Diplômé de l’USJ en gestion d’entreprises et marketing en 1995, il rejoint l’affaire familiale et devient l’un des gérants des groupes Al Sultan Brahim et Al Diwan Beirut qu’il développe aussi bien au Liban qu’au Moyen-Orient. « Aujourd’hui je me concentre sur ma mission : faire du Liban un pays de référence en termes de F&B dans la région. »