Annoncé à la fin de l’année 2013, le Berytech Fund II de l’incubateur éponyme devrait être clôturé fin janvier, avec un budget estimé aux alentours de 50 millions de dollars. Il opérera dans le cadre de la circulaire 331 de la Banque du Liban. « La BDL a approuvé, l’été dernier, l’ensemble de notre champ d’intervention, à savoir les industries créatives à forte valeur ajoutée dans l’économie numérique mais aussi les nouveaux médias, le design ou les énergies renouvelables », se réjouit son directeur Paul Chucrallah.
Seize à dix-sept banques libanaises devraient investir, exclusivement, entre 500 000 et 10 millions de dollars dans le Berytech Fund II. Juridiquement, le fonds est structuré autour d’une holding selon un schéma similaire à celui d’Impact de MEVP (voir Le Commerce du Levant n° 5658).
L’essentiel du budget sera dédié à des investissements de série A compris entre 1 et 5 millions de dollars, avec des participations oscillant entre 15 % et 40 %. « L’idée est d’éviter le traditionnel “spray and pray” en se limitant à une trentaine d’investissements en faisant tout pour que la plupart réussissent : récupérer six à sept fois les mises initiales au moment des sorties sera déjà satisfaisant », commente Paul Chucrallah. Des montants inférieurs au million de dollars pourraient toutefois être marginalement alloués à quelques opérations d’amorçage, voire à des incubateurs ou des accélérateurs, afin de préparer de futurs investissements.
Seize à dix-sept banques libanaises devraient investir, exclusivement, entre 500 000 et 10 millions de dollars dans le Berytech Fund II. Juridiquement, le fonds est structuré autour d’une holding selon un schéma similaire à celui d’Impact de MEVP (voir Le Commerce du Levant n° 5658).
L’essentiel du budget sera dédié à des investissements de série A compris entre 1 et 5 millions de dollars, avec des participations oscillant entre 15 % et 40 %. « L’idée est d’éviter le traditionnel “spray and pray” en se limitant à une trentaine d’investissements en faisant tout pour que la plupart réussissent : récupérer six à sept fois les mises initiales au moment des sorties sera déjà satisfaisant », commente Paul Chucrallah. Des montants inférieurs au million de dollars pourraient toutefois être marginalement alloués à quelques opérations d’amorçage, voire à des incubateurs ou des accélérateurs, afin de préparer de futurs investissements.