Lancé en janvier dernier par l’ambassade britannique et la Banque du Liban, le “UK Lebanon Tech Hub” (UKLTH) a initié en mai le processus d’inscription à son programme d’accélération. Les 45 sociétés libanaises choisies bénéficieront d’un programme de mentorat au Beirut Digital District pour les aider à concevoir un plan de croissance à l’international. « Les candidats ont été sélectionnés en fonction de leur capacité à s’internationaliser et de quotas permettant de diversifier le profil des entreprises. Nous souhaitons que chacun puisse bénéficier d’une aide personnalisée selon la taille de son entreprise et de ses moyens », précise Lama Zaher, chargée de la communication du programme. Au terme de cette étape libanaise de quatre mois, 15 sociétés seront sélectionnées pour une deuxième phase de six mois où elles devront mettre en œuvre leur projet, principalement depuis les bureaux londoniens du UKLTH.
Outre ce programme d’accélération binational, le hub propose également d’autres services, répartis sur quatre piliers. « Nous organiserons des sessions trimestrielles de construction de capacités, ouvertes à tous les acteurs de l’écosystème selon le principe du “premier arrivé, premier servi”. Il servira également de plate-forme de connexion entre des entreprises internationales et des techniciens locaux, devra bâtir des ponts entre différentes institutions locales et la diaspora, et fera la promotion de l’économie libanaise de la connaissance à l’étranger. » Le budget (non communiqué) du UKLTH est intégralement financé par la BDL dans le cadre de sa circulaire 331. « C’est la raison pour laquelle le UKLTH est gratuit et ne prend aucune participation dans les sociétés bénéficiaires », ajoute Lama Zaher.
Outre ce programme d’accélération binational, le hub propose également d’autres services, répartis sur quatre piliers. « Nous organiserons des sessions trimestrielles de construction de capacités, ouvertes à tous les acteurs de l’écosystème selon le principe du “premier arrivé, premier servi”. Il servira également de plate-forme de connexion entre des entreprises internationales et des techniciens locaux, devra bâtir des ponts entre différentes institutions locales et la diaspora, et fera la promotion de l’économie libanaise de la connaissance à l’étranger. » Le budget (non communiqué) du UKLTH est intégralement financé par la BDL dans le cadre de sa circulaire 331. « C’est la raison pour laquelle le UKLTH est gratuit et ne prend aucune participation dans les sociétés bénéficiaires », ajoute Lama Zaher.