Le Sporting Club, complexe balnéaire emblématique de Beyrouth, situé à Manara et fondé en 1953 par Georges Abou Nassar, a remis à neuf son restaurant de poissons et fruits de mer, Feluka. Une initiative pilotée par Walid Abou Nassar, responsable des relations publiques et du département restauration du club. Propriétaire du complexe avec son frère Marwan et leur partenaire Ralph Schray, il « a voulu donner une nouvelle vie à ce restaurant ouvert depuis 1990, adresse incontournable de poissons frais à Beyrouth ». Le lieu propose des spécialités libanaises de la mer notamment les mezzés classiques, ainsi qu’une nouvelle variété de poissons crus et salés, des salades de fruits de mer et des plats traditionnels revisités. Le ticket moyen est de 60 dollars. Le restaurant qui s’étend sur une surface de 300 m2 a été réaménagé dans un style méditerranéen par Walid Abou Nassar lui-même, avec la collaboration des architectes Georges Issa et Mohammad Iskandarani. « Nous avons employé des matériaux comme du bois et de la pierre, des tons de couleurs sobres, notamment du turquoise, et nous avons surtout fait en sorte d’offrir une vue dégagée de la mer », explique Walid Abou Nassar. Feluka peut accueillir près de 150 personnes tous les jours, de midi à minuit. La rénovation a coûté 1,2 million de dollars, prévus d’être rentabilisés en trois ans.
Le Sporting Club s’étend sur près de 15 000 m2, dont 10 000 m2 de front de mer loués sous forme de concession à l’État sur une durée de 100 ans. Il comprend 10 chalets, trois piscines, 200 cabines et 1 200 transats. En termes de restauration, une autre enseigne, The Deck Café, d’une capacité de 120 personnes, propose des mezzés, du poisson, des grillades, des salades et des burgers. La plage est desservie par un kiosque et une cafétéria. D’autre part, The SeaBreeze, une terrasse surplombant la mer, accueille des événements privés. C’est là que se tiennent tous les vendredis d’été depuis 2012 les soirées éphémères “Decks on the Beach” de Youssef Harati et Olivier Gasnier du Parc, animées par des DJ locaux et internationaux de renom, ainsi que les soirées “C U Nxt Saturday”. Toutes deux comptabilisent près de 1 500 entrées par soirée. Le club qui compte plus de 40 000 membres est également ouvert au public, l’accès à la plage s’élève à 20 000 et 30 000 livres libanaises pour les enfants et les adultes respectivement en cours de semaine, et à 30 000 et
40 000 livres libanaises les week-ends. Il emploie une centaine de personnes. « Chaque année, nous dépensons entre 200 000 et
400 000 dollars de frais de maintenance en fonction des dégâts causés par les tempêtes en hiver. »
Walid Abou Nassar a suivi des études de science de l’informatique et d’économie et a d’abord cofondé et géré plusieurs compagnies d’investissement dont InfoVest de 1984 à 1987 et Investment Opportunities de 1987 à 1991. En 1993 il crée Clio, une société de service prépresse avant de rejoindre en 2000 le Sporting Club, jusque-là dirigé par son père. Il partage le management du club avec son frère Marwan (également propriétaire du club de sport Genesis à Verdun) qui en est le directeur général, et Ralph Schray, associé-gérant du groupe, partenaire en parallèle de “Hot Dog Factory”, une chaîne suisse de restaurants. Walid Abou Nassar prévoit d’introduire d’ici à deux ans au sein du complexe un “sunset bar et lounge” qui serait opérationnel toute l’année. « Ensemble nous formons une équipe complémentaire en termes de gestion et de stratégie de développement. Notre politique est la même que celle instaurée par mon père il y a 60 ans : maintenir une atmosphère décontractée, ciblant une clientèle sélecte qui apprécie le confort et la simplicité. »
Le Sporting Club s’étend sur près de 15 000 m2, dont 10 000 m2 de front de mer loués sous forme de concession à l’État sur une durée de 100 ans. Il comprend 10 chalets, trois piscines, 200 cabines et 1 200 transats. En termes de restauration, une autre enseigne, The Deck Café, d’une capacité de 120 personnes, propose des mezzés, du poisson, des grillades, des salades et des burgers. La plage est desservie par un kiosque et une cafétéria. D’autre part, The SeaBreeze, une terrasse surplombant la mer, accueille des événements privés. C’est là que se tiennent tous les vendredis d’été depuis 2012 les soirées éphémères “Decks on the Beach” de Youssef Harati et Olivier Gasnier du Parc, animées par des DJ locaux et internationaux de renom, ainsi que les soirées “C U Nxt Saturday”. Toutes deux comptabilisent près de 1 500 entrées par soirée. Le club qui compte plus de 40 000 membres est également ouvert au public, l’accès à la plage s’élève à 20 000 et 30 000 livres libanaises pour les enfants et les adultes respectivement en cours de semaine, et à 30 000 et
40 000 livres libanaises les week-ends. Il emploie une centaine de personnes. « Chaque année, nous dépensons entre 200 000 et
400 000 dollars de frais de maintenance en fonction des dégâts causés par les tempêtes en hiver. »
Walid Abou Nassar a suivi des études de science de l’informatique et d’économie et a d’abord cofondé et géré plusieurs compagnies d’investissement dont InfoVest de 1984 à 1987 et Investment Opportunities de 1987 à 1991. En 1993 il crée Clio, une société de service prépresse avant de rejoindre en 2000 le Sporting Club, jusque-là dirigé par son père. Il partage le management du club avec son frère Marwan (également propriétaire du club de sport Genesis à Verdun) qui en est le directeur général, et Ralph Schray, associé-gérant du groupe, partenaire en parallèle de “Hot Dog Factory”, une chaîne suisse de restaurants. Walid Abou Nassar prévoit d’introduire d’ici à deux ans au sein du complexe un “sunset bar et lounge” qui serait opérationnel toute l’année. « Ensemble nous formons une équipe complémentaire en termes de gestion et de stratégie de développement. Notre politique est la même que celle instaurée par mon père il y a 60 ans : maintenir une atmosphère décontractée, ciblant une clientèle sélecte qui apprécie le confort et la simplicité. »