Un article du Dossier
Nouvelle vague de complexes balnéaires
Amchit Bay, dont la construction a commencé au début de l’année 2015, se trouve en contrebas du village de Amchit, à cinq minutes de Byblos, sur un terrain de 8 000 mètres carrés, acheté en 2011. Le promoteur est la société Amchit Bay SAL, qui appartient à douze investisseurs libanais (dont l’identité n’a pas été dévoilée). Avec ses vingt-cinq chalets, situés au bord d’une plage de 800 mètres, le projet s’adresse à une clientèle sélecte. Dessiné par le cabinet d’architecture Soma, il est composé de six grands triplex de 500 m² au bord de l’eau, et de dix-neuf autres simplex et duplex de plus petite taille (entre 160 et 245 m²) regroupés dans sept petits blocs résidentiels. Les unités ont des jardins privatifs de 65 à 320 m². « Aucun des chalets du projet n’aura de vis-à-vis, tous offrent une vue sur la mer à travers de grandes baies vitrées. Chaque chalet bénéficiera d’un jardin ou d’une terrasse », assure Mireille Korab Abi Nasr, responsable des ventes et du marketing au sein de FFA Real Estate, promoteur de Amchit Bay.
Le projet comptera aussi 2 000 m² d’espaces communs : des jardins, une grande piscine et également une salle de sport. Les tarifs varient entre 930 000 dollars et 3,6 millions de dollars, selon les superficies et l’emplacement des chalets. Le projet sera livré dans un peu moins de deux ans. Il lui reste à écouler 20 % de ses unités, trois ans après le lancement des ventes, fin 2012.
Le projet comptera aussi 2 000 m² d’espaces communs : des jardins, une grande piscine et également une salle de sport. Les tarifs varient entre 930 000 dollars et 3,6 millions de dollars, selon les superficies et l’emplacement des chalets. Le projet sera livré dans un peu moins de deux ans. Il lui reste à écouler 20 % de ses unités, trois ans après le lancement des ventes, fin 2012.
Propriétaire : Amchit Bay SAL Localisation : Amchit Date de livraison : été 2017 Nombre d’unités restantes à vendre : 6 Prix au mètre carré : de 6 000 à 6 600 dollars Montant de l’investissement : 30 millions de dollars Exploitation du domaine maritime public : non |