Le site de vente d’art Artscoop a bouclé une levée de fonds de 130 000 dollars sur la plate-forme de financement participatif Eureeca. En échange de 15 % de capital, une quarantaine de particuliers ont choisi d’aider ce site à poursuivre son développement. « Cette somme va nous permettre de renforcer notre équipe technique afin de sortir une version adaptable à différents médias. Nous allons également créer une plate-forme d’enchères pour la région à la manière de Paddle8, le site d’enchères américain. »
Fondée en 2014, par Raya et May Mamarbachi, Artscoop vend de l’art grâce à des partenariats noués avec plus de 25 galeries de la région. Pour l’heure, le site répertorie 565 œuvres et 165 artistes. La start-up prend une commission de 20 % sur chaque transaction et revendique un chiffre d’affaires de 250 000 dollars environ en 2015. « Nous voulions prouver que l’on pouvait vendre de l’art en ligne, et cela se vérifie », se félicite Raya Mamarbachi. Cette année, Artscoop a réalisé plusieurs transactions supérieures à 25 000 dollars : une œuvre du Syrien Louay Kayali à 60 000 dollars ; une autre d’Abdullah Murad à 30 000 dollars. « Toutefois, si nous proposons des œuvres dont les prix varient de 500 à 100 000 dollars, la plupart des transactions se font pour moins de 15 000 dollars. »
Parmi les innovations, Artscoop songe à mettre en place un abonnement pour ses galeries partenaires, qui pourraient payer d’une dizaine à une centaine de dollars par mois pour accéder à des services de gestion de stock ou encore d’e-mailing sur le site. Forte de cette nouvelle levée, Artscoop va aussi améliorer l’expérience utilisateur. La plate-forme s’adapte déjà aux goûts des utilisateurs (“suivre un artiste”, favoris…). Bientôt devraient se mettre en place une liste de souhaits ainsi qu’une option “recommandé pour vous” afin de recevoir des notifications personnalisées. Pour Raya Mamarbachi, ces améliorations devraient permettre de générer 600 000 dollars de chiffre d’affaires d’ici à 2017.
Fondée en 2014, par Raya et May Mamarbachi, Artscoop vend de l’art grâce à des partenariats noués avec plus de 25 galeries de la région. Pour l’heure, le site répertorie 565 œuvres et 165 artistes. La start-up prend une commission de 20 % sur chaque transaction et revendique un chiffre d’affaires de 250 000 dollars environ en 2015. « Nous voulions prouver que l’on pouvait vendre de l’art en ligne, et cela se vérifie », se félicite Raya Mamarbachi. Cette année, Artscoop a réalisé plusieurs transactions supérieures à 25 000 dollars : une œuvre du Syrien Louay Kayali à 60 000 dollars ; une autre d’Abdullah Murad à 30 000 dollars. « Toutefois, si nous proposons des œuvres dont les prix varient de 500 à 100 000 dollars, la plupart des transactions se font pour moins de 15 000 dollars. »
Parmi les innovations, Artscoop songe à mettre en place un abonnement pour ses galeries partenaires, qui pourraient payer d’une dizaine à une centaine de dollars par mois pour accéder à des services de gestion de stock ou encore d’e-mailing sur le site. Forte de cette nouvelle levée, Artscoop va aussi améliorer l’expérience utilisateur. La plate-forme s’adapte déjà aux goûts des utilisateurs (“suivre un artiste”, favoris…). Bientôt devraient se mettre en place une liste de souhaits ainsi qu’une option “recommandé pour vous” afin de recevoir des notifications personnalisées. Pour Raya Mamarbachi, ces améliorations devraient permettre de générer 600 000 dollars de chiffre d’affaires d’ici à 2017.