Après le succès de Enab à Mar Mikhaël et de Dunya Beirut à Sodeco, Zahy Rizkallah et ses partenaires Hassan Rahal et Nadim Hakim lancent The Gardens, un cluster de 3 000 m2 situé à Dbayé. Moyennant un investissement de 4,5 millions de dollars, le trio fait ainsi le pari de la décentralisation. « Contrairement à Beyrouth, il n’y a pas de ruelles ou de trottoirs où il soit agréable de marcher à Dbayé, il fallait donc créer une destination qui puisse donner aux gens de la région envie de sortir au restaurant », dit Zahy Rizkallah. The Gardens est ainsi pensé et développé comme un village avec des maisons, de petits jardins et des arbres.
The Gardens comprend les enseignes suivantes : Enab, Caribou, Yoshi, Beit Salwa, PizzAria, Sud, La Petite Table, Bandidos, Smoking Bun et Heights. Chaque restaurateur paie un loyer de 450 dollars par m2. « Nous voulions faire venir les marques qui sont les meilleures actuellement à Beyrouth », ajoute le copropriétaire.
Aujourd’hui patron, Zahy Rizkallah a fait ses premiers pas dans la restauration au début des années 2000. Après des études en gestion hôtelière, il accompagne le Buddha Bar pendant cinq ans, puis choisit de développer ses propres concepts avec ses deux associés de toujours, Hassan Rahal et Nadim Hakim.
En 2011 c’est donc l’ouverture de Enab. « L’idée était d’avoir un restaurant qui me ferait penser à ma grand-mère », dit-il. Même si la présentation est modernisée, la carte reste traditionnelle. Situé dans une vieille maison libanaise de 1 000 m2 avec un jardin et des grottes, Enab peut accueillir 300 personnes assises pour un ticket moyen à 35 dollars. Ouvert à Mar Mikhaël alors que le quartier commence à devenir une destination nocturne, ce premier restaurant, qui a coûté deux millions de dollars, fait un carton. Après Dbayé, une nouvelle ouverture de Enab est attendue à Byblos pour 2017.
Encouragés par ce premier succès, Zahy et ses partenaires lancent Dunya Beirut en 2014. Ce restaurant oriental haut de gamme situé rue de Damas à Sodeco programme des spectacles, du chant et de la danse. L’établissement peut accueillir jusqu’à 130 personnes assises pour un ticket moyen autour de 75 dollars. Les propriétaires, qui ont parié 1,6 million de dollars, avouent qu’ils n’ont pas encore amorti leur investissement, mais espèrent que ce sera le cas d’ici à 2017.
Si Zahy Rizkallah convient que les restaurants orientaux sont ceux qui attirent le plus de clientèle, il n’hésite pas à lancer Tsu, un établissement asiatique en 2015. « L’idée cette fois était de combler un manque, car il y a très peu de restaurants asiatiques au Liban en dehors des sushis. » Moyennant un million de dollars, le trio ajoute une pierre à son édifice et agrandit son empire. « Aujourd’hui, notre but est d’avoir une entreprise au chiffre d’affaires annuel supérieur à 50 millions de dollars. C’est comme ça qu’on va pouvoir entrer en compétition avec des acteurs internationaux. »
Le marché régional, justement Zahy et ses partenaires ont déjà commencé à l’investir via une stratégie d’expansion en franchises. Ainsi, Enab, déjà présent en Égypte avec deux établissements, s’apprête à en ouvrir un troisième au Caire, un à Dubaï (seul établissement à l’étranger en propriété directe), un à Koweït et un à Bahreïn. Tsu est attendu au Qatar et en Arabie saoudite tout comme Dunya Beirut.
The Gardens comprend les enseignes suivantes : Enab, Caribou, Yoshi, Beit Salwa, PizzAria, Sud, La Petite Table, Bandidos, Smoking Bun et Heights. Chaque restaurateur paie un loyer de 450 dollars par m2. « Nous voulions faire venir les marques qui sont les meilleures actuellement à Beyrouth », ajoute le copropriétaire.
Aujourd’hui patron, Zahy Rizkallah a fait ses premiers pas dans la restauration au début des années 2000. Après des études en gestion hôtelière, il accompagne le Buddha Bar pendant cinq ans, puis choisit de développer ses propres concepts avec ses deux associés de toujours, Hassan Rahal et Nadim Hakim.
En 2011 c’est donc l’ouverture de Enab. « L’idée était d’avoir un restaurant qui me ferait penser à ma grand-mère », dit-il. Même si la présentation est modernisée, la carte reste traditionnelle. Situé dans une vieille maison libanaise de 1 000 m2 avec un jardin et des grottes, Enab peut accueillir 300 personnes assises pour un ticket moyen à 35 dollars. Ouvert à Mar Mikhaël alors que le quartier commence à devenir une destination nocturne, ce premier restaurant, qui a coûté deux millions de dollars, fait un carton. Après Dbayé, une nouvelle ouverture de Enab est attendue à Byblos pour 2017.
Encouragés par ce premier succès, Zahy et ses partenaires lancent Dunya Beirut en 2014. Ce restaurant oriental haut de gamme situé rue de Damas à Sodeco programme des spectacles, du chant et de la danse. L’établissement peut accueillir jusqu’à 130 personnes assises pour un ticket moyen autour de 75 dollars. Les propriétaires, qui ont parié 1,6 million de dollars, avouent qu’ils n’ont pas encore amorti leur investissement, mais espèrent que ce sera le cas d’ici à 2017.
Si Zahy Rizkallah convient que les restaurants orientaux sont ceux qui attirent le plus de clientèle, il n’hésite pas à lancer Tsu, un établissement asiatique en 2015. « L’idée cette fois était de combler un manque, car il y a très peu de restaurants asiatiques au Liban en dehors des sushis. » Moyennant un million de dollars, le trio ajoute une pierre à son édifice et agrandit son empire. « Aujourd’hui, notre but est d’avoir une entreprise au chiffre d’affaires annuel supérieur à 50 millions de dollars. C’est comme ça qu’on va pouvoir entrer en compétition avec des acteurs internationaux. »
Le marché régional, justement Zahy et ses partenaires ont déjà commencé à l’investir via une stratégie d’expansion en franchises. Ainsi, Enab, déjà présent en Égypte avec deux établissements, s’apprête à en ouvrir un troisième au Caire, un à Dubaï (seul établissement à l’étranger en propriété directe), un à Koweït et un à Bahreïn. Tsu est attendu au Qatar et en Arabie saoudite tout comme Dunya Beirut.